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Kyojiro Sakurai - Le mec qui tire toujours la tronche

Kyojiro Sakurai
Kyojiro SakuraiUniversité • 4ème année
Messages : 279
Âge : 23
Cursus : Droit, spécialité droit pénal et sciences criminelles

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Clubs: Kendo (capitaine) et cuisine
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Kyojiro Sakurai - Le mec qui tire toujours la tronche EmptyMar 24 Jan - 18:20

 

Votre personnage



Citation :
Prénom(s) et nom : Kyojiro Sakurai
Âge et date de naissance : 20 ans, 29 novembre 2000
Genre : Homme
Pays d'origine : Japon
Orientation sexuelle : Hétérosexuel jusqu’à preuve du contraire
Cursus et spécialité : Droit, spécialité droit pénal et sciences criminelles
Année d'étude : 3e année
Clubs : Kendo (capitaine) et cuisine


 
Histoire

 

Pour commencer l’histoire de Kyojiro, il faut d’abord remonter un peu en arrière, avant même sa naissance, pour parler de la rencontre de ses parents. Tout débuta donc à l’école de police, là où avaient atterris Kyosuke et Rin après leur diplôme au lycée. Les deux jeunes gens faisaient partie d’une petite promotion exclusivement constituée d’hommes. Il fallait dire que le métier de policier était difficile, et qu’il l’était encore plus pour les femmes ! Rin était donc la petite chouchoute de la classe et tous les garçons rêvaient de pouvoir sortir avec elle. Elle était belle et douce, tellement douce qu’on se demandait bien comment elle pourrait réussir à obtenir son concours à la fin de ses études. Mais son sens de la justice était bien plus développé que ses camarades, même plus encore que celui de Kyosuke qui passait son temps à la regarder de loin, sans trop oser s’approcher. Et c’est justement cette attitude si différente des autres qui fit que Rin le remarqua. Très calme et un peu solitaire, il avait réussi à piquer sa curiosité et, au fil des jours, elle avait découvert que sous cet air renfrogné se cachait un jeune homme timide qui n’était pas à l’aise avec les autres.

Grâce à Rin, Kyosuke parvint à s’ouvrir aux autres, à se faire des amis parmi ses camarades qui s’amusaient à le taquiner vis-à-vis de sa relation avec la jeune femme, et tous deux, réussirent à décrocher leur diplôme. Ils entrèrent dans le même commissariat, en compagnie de deux autres élèves de leur promotion. Le travail était difficile au début. Il leur fallait se faire une place parmi des officiers plus gradés et expérimentés qu’eux, et la pauvre Rin, toujours la seule représentante féminine, devait se montrer forte pour ne pas céder face à la pression. Les deux amoureux décidèrent de s’installer ensemble, décision qui ne sembla pas vraiment plaire à leurs supérieurs qui prônaient l’idée de ne jamais avoir de relation sentimentale avec un collègue de travail. On leur posa donc un ultimatum : s’ils voulaient rester dans ce commissariat, ils devaient rompre. À défaut, l’un d’eux devrait démissionner, si ce n’était pas les deux à la fois. Rin était vraiment déçue par ce système et, voyant tout l’amour de Kyosuke pour la profession, elle démissionna. Forcément, Kyosuke n’avait pas été d’accord et s’était même révolté d’une telle issue auprès de ses supérieurs, mais Rin avait su le convaincre de poursuivre sa voie sans s’inquiéter pour elle, lui donnant un argument de taille : elle attendait un enfant de lui.

Gardant sa rancœur de côté, Kyosuke préféra tout faire pour que sa femme soit la plus heureuse possible. Elle retrouva un petit boulot dans une supérette ouverte 24h/24. Les neuf mois passèrent à toute vitesse, entrecoupés par leur mariage, et finalement, le petit Kyojiro vit le jour. Autant dire que le papa était très fier d’avoir un petit garçon ! Il allait pouvoir lui inculquer toutes les valeurs nécessaires pour faire de lui un homme bon et droit ! Les années passèrent tranquillement jusqu’aux 3 ans de Kyojiro. Afin de l’élever au mieux et de toujours avoir une présence à ses côtés, ses parents avaient décidé de travailler à des horaires différents : Kyosuke travaillait la journée au commissariat et Rin travaillait dans la supérette la nuit. C’était difficile, mais leur couple tenait bon, pour l’amour de leur fils. Et un soir, alors que Rin travaillait, un voyou armé d’un couteau pénétra dans la supérette pour repartir avec la caisse. Ce fut avec cet esprit chevaleresque qui la caractérisait si bien que la jeune maman se jeta sur l’agresseur pour le mettre à terre et le désarmer afin de protéger les clients et ses collègues présents dans la boutique. Sauf que, dans le feu de l’action, l’homme armé fut tellement surpris qu’il planta, sans vraiment le vouloir, le couteau dans l’estomac de la caissière qui parvint tout de même, dans un ultime effort, à le maintenir à terre avant de s’effondrer alors que des collègues prenaient le relais.

Après plusieurs jours à faire des allers-retours à l’hôpital, le couperet tomba : Rin s’était battue de toutes ses forces, mais elle n’avait pas pu surmonter sa blessure qui avait été bien trop grave pour être soignée. Kyosuke était dévasté et Kyojiro, encore trop petit, avait beaucoup de mal à comprendre pourquoi sa maman ne revenait plus. Le policier, qui avait réussi à s’ouvrir aux autres, se renferma sur lui-même pendant deux longues années. Son fils était confié à des nounous quand il n’était pas à l’école et lorsqu’il était avec son père, celui-ci se comportait toujours très sévèrement. Son éducation fut donc prise en charge par un père en colère contre le monde entier, mais qui finit par reprendre du poil de la bête grâce à ce fils qui lui ressemblait certes beaucoup, mais qui avait aussi hérité de la douceur de sa mère. Ce fut donc à partir de ses 5 ans que leur relation s’intensifia, Kyosuke étant bien décidé à faire de Kyojiro un fils parfait dont il serait fier. Sans figure maternelle dans son quotidien, Kyojiro eut très vite un tempérament fougueux. Il se battait souvent à l’école quand il voyait qu’on embêtait ses camarades et il revenait presque tous les jours à la maison avec des bleus. Son père le grondait bien sûr, mais il ne pouvait s’empêcher d’être fier de lui quand il lui racontait qu’il avait sauvé un petit chien sur qui on lançait des cailloux pour rigoler.

Les années passèrent et même si l’éducation de Kyojiro était très stricte, il était heureux. Sa mère n’étant plus là, il lui arrivait très souvent de devoir s’occuper des repas, même si son père l’aidait encore beaucoup à cet âge-là. A l’école, on savait très bien qu’il ne fallait pas l’embêter parce qu’il était super fort et qu’il faisait aussi super peur avec ses sourcils toujours froncés ! Il n’avait donc pas beaucoup d’amis, voire même aucun, mais ça ne le gênait pas. Il avait son père et le kendo. Ça lui suffisait. Ce fut l’année de ses 7 ans qu’il vit arriver dans sa classe un garçon qui semblait avoir des problèmes auditifs puisqu’il portait des appareils dans ses oreilles. Ouais, bon, un autre camarade de plus quoi. Mais quand un jour, Kyojiro tomba sur ses camarades de classe en train de brutaliser ce pauvre Tetsuya qui était sans défense, son sang ne fit qu’un tour. Comme un justicier pas masqué, il s’interposa et infligea une bonne correction aux bourreaux qui prirent bien vite la poudre d’escampette. Se retournant alors vers Tetsuya, le visage tout sale à cause des coups qu’il avait reçus, il lui tendit une main amicale, accompagnée d’un sourire chaleureux, sourire qu’il n’adressait qu’à peu d’élus.

Pendant les 4 années qui suivirent, Tetsuya et Kyojiro étaient tout bonnement inséparables. Comme ils aimaient à le dire, ils étaient les meilleurs amis du monde, à la vie, à la mort ! Cette nouvelle amitié avait permis à Kyojiro d’être un peu moins solitaire et de s’épanouir. Son père était vraiment heureux de le voir comme ça ! Il ressemblait vraiment à sa mère quand il souriait ! Et comme toutes les bonnes choses ont une fin, ce bonheur si cher à Kyojiro fut brisé lors de l’annonce du déménagement de la famille de Tetsuya. Ils pleurèrent énormément tous les deux, et Kyojiro demanda même à son père s’il ne pouvait pas arrêter celui de Tetsuya pour que celui-ci ne déménage pas. Mais c’était impossible... Les deux meilleurs amis du monde furent donc séparés et, pour noyer son chagrin, Kyojiro se donna corps et âme au kendo qu’il pratiquait depuis plusieurs années déjà. Il était fort, très fort, et il participa même à des compétitions qu’il remporta à plusieurs reprises. Son père, voyant que cette ville rappelait de trop mauvais souvenirs à son fils, demanda sa mutation. Lui aussi voulait changer d’air et repartir de zéro. Jamais il n’oublierait Rin, mais ils devaient partir d’ici.

Ils déménagèrent donc à quelques kilomètres de la ville de Nara, Kyosuke ayant trouvé une place dans un petit commissariat. Kyojiro n’avait pas rechigné à partir puisque plus rien ne le raccrochait à cette ville, son seul et unique meilleur ami n’y étant plus. Dans sa nouvelle école, il eut énormément de mal à s’intégrer aux autres, restant toujours un peu à l’écart à cause de son air renfrogné. Il avait attendu de longues semaines d’avoir des nouvelles de Tetsuya, mais il n’avait pas reçu une seule lettre ni coup de téléphone. Est-ce que son ami l’avait déjà oublié ? Est-ce qu’il était passé à autre chose ? Kyojiro avait hésité plusieurs fois à demander de l’aide à son père pour retrouver son ami, mais à chaque fois, il avait renoncé. Son père lui disait toujours de se montrer fort, il fallait donc qu’il se débrouille par ses propres moyens ! Kyojiro entreprit donc de suivre la même voie que ses parents et de devenir policier après ses études. Tout d’abord parce qu’il avait un sens de la justice au moins aussi exacerbé que ses parents, mais aussi parce qu’il voulait être capable de retrouver son meilleur ami par lui-même. Tous les jours, il pensait à lui et tous les jours, il se disait qu’il se rapprochait de son but. Quittant finalement le collège, Kyojiro entra au lycée à l’Académie Yokuboo qui se trouvait à une bonne heure de route de chez lui. Interne, il s’inscrivit au club de kendo et à celui de cuisine, ce club culturel étant le seul où il se débrouillait bien (il fallait dire qu’avec les années de pratique, il était devenu un véritable cordon bleu !).

Pour sa deuxième année, il était bien loin de se douter qu’une surprise l’attendrait à Yokuboo, puisque Tetsuya fit son grand retour dans sa vie. Mais le destin avait visiblement décidé de ne jamais offrir trop de bonheur à Kyojiro, puisque celui-ci perdit à nouveau son meilleur ami de vue à cause d'un énième déménagement. Le kendoka garda quand même contact avec lui, mais il dut se rendre à l'évidence : Tetsuya ne reviendrait plus à Nara.

Suite à la promesse qu'il avait faite à son meilleur ami, Kyojiro fit de nombreux efforts pour réussir à se sociabiliser un peu plus. Toujours aussi maladroit, il parvint quand même à tisser des liens avec certaines personnes, notamment avec Okita Nishimura, son idole et champion national de kendo. Le lycéen poursuivait d'ailleurs les compétitions, avec l'objectif de surpasser son modèle, parvenant sans mal à se classer dans les 20 meilleurs du pays.

Sa scolarité à Yokuboo se poursuivit finalement avec des hauts et des bas, de belles rencontres et de déchirants adieux, mais Kyojiro ne voulait pas se laisser abattre. Même s'ils n'étaient pas tous près de lui, il avait maintenant quelques personnes sur qui compter en dehors de Tetsuya, et ce fut avec cet état d'esprit déterminé qu'il entra à la fac, en première année, pour des études de droit.

Cette année 2019, sa première en tant qu'étudiant, fut une année riche en rebondissements. Avec le retour de Zelda, Kyojiro a pu tomber amoureux pour la première fois. Après le championnat national de kendo, en juin, où il a finalement réalisé son rêve de décrocher le titre de meilleur kendoka du Japon, Kyojiro a décidé de se confesser à la jeune femme. Leur amour semblait réciproque et pourtant... Rien ne changea. Peu après, le typhon qui ravagea Nara permit à l'étudiant de faire la rencontre de Dai, et de se rendre compte qu'il avait beaucoup de points communs avec cet homme, malgré leur différence de statuts. Puis, Zelda décida de quitter Nara et de couper les ponts avec Kyojiro au mois de décembre. Comme ça, du jour au lendemain, sans vraiment lui avoir donné de raisons particulières. Le kendoka, anéanti par cette nouvelle, put trouver en Aki, son colocataire et ami depuis plusieurs mois, une présence réconfortante, une épaule sur laquelle se reposer et une oreille attentive. Cette rupture les rapprocha au point de les faire devenir meilleurs amis. Enfin, malgré ce coup au moral, Kyojiro réussit avec brio ses examens et passa donc en deuxième année pour ses études de droit.

L'année 2020 commença plutôt bien. Kyojiro avait enfin réussi à remonter la pente après la perte douloureuse de Zelda, et il avait même fait plusieurs rencontres agréables, dont celle d'une artiste lors d'une sortie sous les cerisiers en fleurs juste avant la rentrée. Mais au mois de juin, le kendoka ne put s'empêcher de sortir de ses gonds en se retrouvant une nouvelle fois confronté à la méchanceté d'Haru, cette même fille qui l'avait persécuté pendant leurs années lycée à Yokuboo. Après avoir manqué de lui faire tâter de son poing, Kyojiro se retrouva complètement désemparé quelques mois plus tard en apprenant qu'elle avait eu un accident et avait perdu la mémoire. La culpabilité laissa finalement place à une envie de repartir du bon pied avec la jeune femme, ce qu'ils parvinrent à faire. Pour Halloween, Kyojiro participa ensuite à une Murder Party organisée aux abords de la ville. Voulant tester ses talents d'enquêteur pour s'assurer qu'il était sur la bonne voie pour son avenir, le kendoka parvint à trouver le coupable, le tout en passant une excellente soirée malgré certaines taquineries de la part de Sora. Mais tout ne pouvait pas toujours être rose... À peine quelques jours plus tard, Aki, son meilleur ami, décida de quitter Yokuboo pour rentrer chez lui, sans doute parce que sa séparation avec Saya lui pesait beaucoup trop. Kyojiro fit donc face à un nouveau départ d'une personne qui comptait énormément pour lui, surtout que la place vacante d'Aki dans leur chambre au pensionnat fut bien vite comblée par Isamu. D'abord froid et distant avec lui, triste de voir que son ami était déjà remplacé, Kyojiro se découvrit finalement un ami en ce nouveau colocataire, même si celui-ci prenait un peu trop plaisir à le taquiner !



Physique

 

La première chose qu’on remarque quand on regarde Kyojiro, c’est son air renfrogné qui donne l’impression qu’il fait toujours la gueule ou qu’il a l’intention d’essayer de vous tuer en vous fusillant du regard. La faute sans doute à un regard perçant et profond d’un noir de jais, surmonté de fins sourcils presque constamment froncés. Si on reste au niveau de son visage, on constate que celui-ci est plutôt fin sans être efféminé pour autant, sa mâchoire étant quand même légèrement carrée. Sa bouche renforce son air boudeur puisqu’elle ne s’étire que rarement pour afficher un sourire, sourire pourtant rayonnant quand on arrive à percer la carapace de Kyojiro. Son visage, agrémenté d’un nez plutôt droit tout en restant assez discret, est encadré par des cheveux eux aussi d’un noir de jais, un peu en bataille, lui chatouillant la nuque et tombant un peu dans ses yeux quand Monsieur a la flemme d’aller se les faire couper.

Du côté de son allure, Kyojiro est du genre élancé. Plutôt grand pour un japonais, il se place facilement dans la moyenne haute de ses camarades de classe. Pour la forme, même si le corps de Kyojiro est plutôt athlétique grâce à sa pratique plus qu’assidue du kendo, il n’en reste pas moins très fin quand on le regarde tout habillé, laissant facilement penser qu’il est presque dépourvu de musculature. Mais détrompez-vous ! Kyojiro a de la force même s’il n’en a pas l’air ! Il sera juste plus agile que de simples brutes toutes en muscles !

Concernant son style vestimentaire, Kyojiro préfère porter des tenues sobres, aussi bien par la forme que par la couleur. Il est bien loin d’être une fashion victim et de s’intéresser à la mode. On le verra donc la plupart du temps porter des jeans plus ou moins serrés selon ses envies et surtout selon s’il prévoit ou non de faire du sport, ainsi que des baskets. Pour le haut, il optera pour des t-shirts simples ou des sweats pouvant être agrémentés de capuche. Il n’est pas trop fan des shorts, mais quand l’été est bien installé, il lui arrivera d’opter pour des bermudas afin d’avoir un peu moins chaud. Pour les signes distinctifs, vous l’aurez compris, Kyojiro est quelqu’un de très simple qui n’accorde pas vraiment d’importance à son apparence. Il ne portera donc aucun bijou, si ce n’est une montre que son père lui a offerte pour un anniversaire. Il n’est ni tatoué, ni percé et ne compte pas l’être un jour.



Caractère

 

Kyojiro est plein de contradiction, sans doute est-ce à cause de cette période qu’il finit de traverser : l’adolescence. Quoiqu’il en soit, au premier abord, Kyojiro paraît austère et peu aimable à cause de cet air renfrogné qu’il affiche presque constamment. Mais ce n’est pas parce qu’il a l’air d’être méchant qu’il l’est pour autant ! Vous n’avez jamais mangé de nounours en chocolat à la guimauve ? Eh bien, on pourrait presque comparer Kyojiro à ces nounours ! Sous son apparence agressive se cache un cœur tout mou ! Ce jeune homme a vraiment le cœur sur la main quand on sait l’approcher et qu’on s’accroche (parce qu’il faut quand même s’accrocher pour réussir à le dérider). C’est un ami fidèle qui ne trahira jamais les personnes à qui il tient. Prenant très à cœur la justice (merci à son papa policier qui lui a inculqué cette valeur fondamentale), Kyojiro ne supporte pas les injustices et il aura tendance à toujours vouloir défendre les plus faibles. Un peu rentre-dedans, il agit bien souvent sans réfléchir et n’hésitera pas à user de ses poings quand son sang ne fait qu'un tour ! La justice c’est bien, mais il faut parfois se salir un peu les mains pour remettre en place des voyous, il en a déjà fait l’expérience !

Un peu bagarreur plutôt que beau parleur, il a toujours eu du mal à exprimer ce qu’il ressent, là encore à cause de l’éducation stricte qu’il a reçue. Son père lui a toujours inculqué de se montrer fort en toute circonstance, de ne jamais se laisser faire et de toujours protéger et venir en aide à ceux qui en ont le plus besoin. Le père et le fils se ressemblent tellement qu’il est presque possible de se demander si cet air renfrogné n’est pas héréditaire ! Et en bon fils qu’il est, Kyojiro est déterminé à suivre le parcours de son père pour devenir lui aussi policier à la fin de ses études. Super-héros dans l’âme, mais moins dans ses interactions avec les autres, il a toujours tendance à être un peu en marge des groupes. Il faut dire qu’il n’est pas très populaire avec cet air ronchon, qui fait que les gens ont un peu de mal à trouver le courage de l’approcher. Pourtant, quand on se donne les moyens de venir vers lui, Kyojiro se montre avenant et sociable, même s’il ne sourira pas forcément et qu'il aura du mal à parler correctement sans bégayer ou buter sur les mots.

Grand amoureux du kendo, il peut passer de nombreuses heures à s’entraîner tout seul dans le dojo. Être seul ne le dérange donc pas, même si, comme tout être humain, il a besoin d’avoir des interactions avec les autres. Il n’ira que rarement vers les gens, mais une fois qu’il aura décidé qu’il vous aime bien, il montrera un autre côté de sa personnalité : c’est un véritable pot de colle ! Il fera tout pour vous rendre heureux et vous faire sourire. Le bonheur des autres a toujours passé avant le sien. Têtu, il est du genre à ne jamais admettre qu’il a tort, même s’il sait que c’est le cas, la faute à une fierté sans doute un peu trop mal placée. Il y aurait encore plein de choses à dire sur ce jeune homme qui commence tout juste à s'épanouir, ce nounours en chocolat au cœur de guimauve qui ne sait pas exprimer ses émotions et qui semble toujours de mauvaise humeur. Mais trop en dévoiler ne vous laisserait plus aucune surprise !



Derrière l'écran


Votre pseudo : Pocky, Once again! ♥
Votre âge : Prout ! ♥
Comment vous avez découvert le forum : Mon petit doigt m’en a parlé 8D
Votre avis sur le forum : ♥♥♥
Petit mot de la fin : Love meeeee, please, love meeeeee ! o/


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