Votre personnage

Citation :

Prénom(s) et nom : Hebi Yamageshi
Âge et date de naissance : 20 ans - 23 mai
Genre : Femme
Pays d'origine : Japon
Orientation sexuelle : Hétérosexuelle (curieuse)
Cursus et spécialité : Cursus sport, spécialité éducation et motricité
Année d'étude : 2ème année
Clubs : Boxe et photographie

Histoire

Je suis née dans une famille extrêmement aisée dans la ville de Nara. Papa était à la tête du grand groupe Yamageshi d'origine japonaise et maman était une boxeuse professionnelle d'origine japonaise-australienne (son père est un australien). Ne me demandez pas comment ils se sont rencontré, c'est leur jardin secret ! Ils étaient beaux, puissants et le grand amour qui les unissait a fait que maman avait mis au monde non pas deux, ni trois, mais six enfants. Les parties de jambes en l'air, ils adoraient ça dit donc. Hum, bref. Six enfants. Six accouchements. Cinq garçons et une fille.. Le plus âgé à aujourd'hui quarante ans, le deuxième trente-sept ans, le troisième trente cinq ans et les deux derniers, des jumeaux vingt trois ans. Ma mère a eu beaucoup de mal à s'en sortir avec son métier, bien qu'elle est fait le premier extrêmement jeune (seize ans). Après mon troisième frère, maman voulait faire une pause. Elle voulait d'autres enfants, mais se devait de continuer son parcours professionnel. Elle a d'ailleurs prit sa retraite de boxeuse à l'âge de trente-deux ans, un peu avant de tomber enceinte des jumeaux.

À l'époque j'étais une petite fille vraiment colérique, boudeuse, impatiente et chiante (c'est toujours le cas). Il me fallait toujours tout ce que je voulais, que ce soit un jouet, des bonbons, une sortie au parc d'attraction, n'importe quoi, sinon, je piquais ma crise de nerf. Qu'est-ce que c'est ? Et bien c'est simplement une petite fille qui hurle, qui se tape la tête contre les murs et qui coupe sa respiration jusqu'à l'évanouissement, voilà. Ça faisait énormément peur à mes parents qui s'occupaient beaucoup de moi (bah oui, j'étais la seule fille), alors ils étaient dans l'obligation de céder à mes caprices. Mais fut un jour où ils devenaient de plus en plus prit à cause du travail (papa devait retourner au bureau et maman devait faire des matchs de qualification dans un autre pays), alors ils ont décidé de me faire garder par mes frères, espérant qu'ils pourraient contrôler ce caractère de caca que leur petite sœur de trois ans avait.

On pourrait croire qu'avec sept frères, la petite sœur allait se calmer et devenir un petit ange. FAUX. C'était devenu dix fois pire avec eux. Au début, je faisais exactement ce que je faisais endurer à mes parents (hurlement, crise d'hystérie, etc), mais plus je grandissais et plus mes caprices étaient devenus ingérables. Je courrais toute nue dans la maison (en sachant que l'on vivait tous sous le même toit avec les deux femmes de ménage, le cuisinier, le jardinier et le majordome de papa qui le suivait par tout comme un petit chien), je faisais pipi sur les plantes du jardin, je soulevais les jupes des filles dans la rue, je faisais des doigts (à la Mr Bean) et j'en passe. Un calvaire que mes frères n'arrivaient pas à supporter.

Mon entré à l'école n'avait pas arrangé les choses. Ils pensaient qu'avec un minimum d'éducation, ce comportement désagréable qu'était le mien se dissiperait, mais ce n'était pas le cas. Je bouchais les toilettes avec du papier, je montrai ma culotte aux enseignants, je coloriais les murs de l'établissement, je ne mettais pas mon uniforme correctement, enfin bref. Bien sûr, je n'étais qu'une petite fille et il fallait me redresser à la dur. Papa avait donc décidé de mettre au point un système que je devais respecter. Si toute la journée se passait bien (les enseignants appelaient mes parents pour approuver mon comportement) j'avais le droit à des bonbons, des histoires de princesses le soir, de monter sur les épaules de papa et le meilleur.. D'avoir un poney à l'âge de dix-huit ans. C'était donnant-donnant. Fais des efforts sur ton comportement et tu obtiendras récompense. Sa marche.

Mes premières années avaient été très mouvementé. Je n'étais pas le genre d'élève très concentré ou motivé par les études. J'aimais faire rire la classe et m'amuser. Bon, plus de conneries, mais on peut bien s'amuser quand même ? Personne n'est parfait. J'avais énormément d'amis et j'en ai toujours. J'étais le clown de service. On voulait toujours être avec moi dans les groupes pour faire des exercices ou bien en cours de sport. Je les aime tellement. Je suis un peu le genre de fille à sauter dans les bras d'un ancien camarade de classe même après dix ans passés, même si lui, ne m'a pas reconnu. Ce qui est rare d'ailleurs puisque j'ai toujours garder contact avec eux malgré toute ces années.

Vient alors le jour de mes douze ans, où maman m'avait proposé de l'accompagner à un entraînement de boxe avec son ancien manager qui lui avait laisser la salle. Mes yeux étaient émerveillés, un millier d'étoiles pétillaient lorsque je voyais maman se déchaîner contre un sac de frappe et encore plus lors du combat amical avec l'un de ses anciens camarades. C'était une sensation que je voulais ravoir, encore et encore. Alors, je continuais à suivre maman à chaque fois qu'elle me proposait d'aller voir son manager pour discuter du bon vieux temps, commençant même à vouloir boxer à mon tour. J'avais trouvé un sens à ma vie. À l'âge de mes douze ans, je savais ce que je voulais faire plus tard, devenir boxeuse professionnelle comme maman.

Je suis actuellement en 2ème année d'étude à l'académie Yokuboo. Il n'est pas réellement difficile d'y entrer lorsque l'on vient d'une famille aisée, même si je ne suis pas forcément une lumière. Mes notes ne sont pas basses ni même inexistantes, elles sont simplement en train de stagner. Les enseignants me feront toujours la même remarque agaçante ; "arêtes de faire le pitre, tu n'es pas le cancre de la classe, reprends toi et enlève moi cette teinture". Merci bien, je le sais. Ce n'est pas de ma faute si je suis ce que je suis. Bien sûr, mes notes restent dans la moyenne. Heureusement pour moi, mon intérêt pour le sport est d'une grande aide. J'excelle dans toutes les activités sportives, mais la meilleure restera la boxe (c'est bien pour cela que je suis rentrée de ce club). Si je serai dans une école sportive, je peux vous le garantir que je serai définitivement la number one. Je suis également entrée dans le club de photographie. Je ne suis pas réellement créative pour faire d'excellentes photos d'une simple coccinelle, mais j'adore prendre des selfies, alors on peut dire que c'est une bonne chose. J'ai d'ailleurs pris le cursus sportif (comme ci on ne le savait pas) en spécialité d'éducation et motricité, ce qui me permettra de faire un master et de passer professionnelle, comme maman.

Physique

Pour commencer, je suis une fille d'une taille moyenne. Je dois mesurer environ dans les un mètre soixante-trois par là pour soixante kilos, que du muscle ma gueule (non abuses pas). Je dis environ parce que je ne me pèse pas non plus tous les jours, c'est déjà un exploit que de mettre un poids sur mon corps (merci la balance du médecin). Je suis une grosse mangeuse, mais une excellente sportive. Je mange trois très gros repas par jour. Il m'arrive même de me faire un quatrième repas pendant la nuit. Heureusement pour moi, mon métabolisme fait que toute la graisse se retrouve dans mes fesses et mes hanches. Donc, il est facile pour une athlète comme moi de muscler ses parties du corps. De légers abdos sublimes le ventre, un bon fessier bien ferme en guise de postérieur, des hanches volumineuses et une poitrine légèrement généreuse (dans la moyenne mais bien ferme) font que j'ai un corps.. Magnifique ! Vraiment, que dire de plus ? Qui ne rêverait pas d'un corps comme le mien ?

Avec un corps, il faut une tête et quoi de mieux qu'une bonne bouille d'ange ? On me le dit très souvent, j'ai un véritable visage angélique. Ma peau rosé est aussi douce que celle d'un nouveau-né. Elle devient rouge au niveau des joues et des oreilles lorsque la gêne me prend. En plus d'être très expressive, mon corps l'est aussi. Lorsque je suis toute excité (n'importe quelle excitation hein), mon corps bouillonne tellement que j'ai cette envie de me foutre à poil. Bref, passons, revenons à nos moutons. Mes yeux sont d'une couleur bleue océan, de longs cils les entourent pour former un regard de biche. Un tout petit nez tout mignon au milieu du visage, des lèvres pulpeuses d'un goût pêche (on adore les baumes à lèvres) et des dents blanches très bien alignées (merci l'appareil dentaire). Ma tête est recouverte d'une énorme touffe de cheveux. De base d'un châtain foncé, je suis passé rapidement chez le coiffeur pour passer à un tie and dye rose fuchsia et violet. Et en plus, pour que cela soit encore plus naturel, j'ai même teint mes sourcils en rose. Cela fait maintenant quatre ans que je me teint les cheveux. J'utilise toute sorte de produits adaptés pour garder la couleur vive et ne pas faire mourir mon cheveu. Pourquoi me les teindre jusqu'à même teindre les sourcils ? J'aime le changement. Il se peut que même demain tu me vois débarqué avec les cheveux bleu et des mèches blanches. Je vous assure, mes cheveux c'est ma vie, mais j'adore le changement. Je pourrai porter des perruques, mais c'est tellement inconfortable avec ma tignasse. Enfin, pour l'instant, cette couleur me convient, alors je la garde ! Ils sont naturellement ondulés et boucles la nuit (au réveil c'est une catastrophe), du coup j'en prends grand soin. J'aime m'amuser avec ; enrouler mes doigts dans mes mèches, tester de nouvelles coiffures, mais c'est un véritable calvaire à les sécher. Ils ne sont pas que longs, ils sont aussi très épais.

Question vestimentaire, je suis plutôt quelqu'un qui s'habille grâce à son humeur. Il peut m'arriver d'être énervé, je vais opter pour un pantalon déchiré et une veste en cuir, être dans le monde des bisounours, un tee-shirt à motif de chat, un short et une veste en jean à fleurs, être dans une ambiance de séduction, une robe bien moulante et des petits talons, ou bien je-m'en-foutiste et là je me trimbale en jogging avec un pull à motif de spermatozoïde.

Pour faire simple je suis une fille athlétique avec un visage angélique et une chevelure de déesse. Quoi de mieux ?

Caractère

Au premier abord, on pourrait croire que je suis la mauvaise fille, la petite peste qui te fera vivre un enfer, mais, non. Je suis loin, très loin de tout ça.

Ma mère m'a toujours appris à aimer les autres, à les accepter comme ils sont et à ne jamais les juger. Du coup, je ne juge jamais quelqu'un à sa couverture ou parce qu'on lui a collé une étiquette sur le front, non. J'apprends à connaître, à apprécier et à aimer. C'est très facile, je vous assure. Il suffit juste de s'intéresser aux autres et d'avoir une connexion. Bien sûr, on ne peut pas aimer tout le monde et tout le monde ne peut pas nous aimer. Personnellement, si je n'apprécie pas une personne (ce qui est rare) je lui dis ouvertement, absolument tout ce que je pense de lui. Je ne passe pas par quatre chemins, autant le dire dès le début. Un peu trop franche? Certainement. Pourquoi cacher à quelqu'un que tu ne l'aimes pas? Faire semblant et être hypocrite, très peu pour moi. Si tu es ce genre de personne, alors fais ce que tu veux, mais fais le loin de moi.

Je suis une personnage extrêmement curieuse. Beaucoup trop. Je m'intéresse à tout et à tout le monde. Le "mêle toi de tes affaires" je ne comprends pas, bien au contraire, je m'en mêle. Si je rentre dans une discussion qui n'est pas la mienne (même avec des inconnus) c'est sûr que j'aurai le fin mot de l'histoire (ouais je suis têtue et chiante aussi). Tu peux être sûr que s'il y a un ovni qui débarque, au lieu de courir, de m'enfuir ou bien de me cacher, j'irai à la rencontre des extraterrestres savoir d'où ils viennent, ce qu'ils veulent, ce qu'ils mangent, est-ce qu'ils font popo comme nous, enfin voilà.

Drôle et maladroite. Les expressions très explicites de mon visage font beaucoup rire. C'est même un peu trop exagérés, mais c'est ma face, je n'y peux rien. Mes insultes (oui parce qu'il m'arrive d'être vulgaire, comme n'importe qui), ma répartie, enfin, dès que j'ouvre la bouche, la plupart du temps, c'est pour sortir une connerie. À l'école, on évite, même si c'est plus fort que moi. Ma maladresse est une qualité pour les autres, surtout mes amis proches. Dans une soirée entre potes dans un lieu public, je suis la seule personne à me tromper de table, à y m'asseoir et à y rester, avec des inconnus. Ça amuse beaucoup la galerie. Le seul panneau au milieu d'un parc, c'est bibi qui se le prend. Je suis la seule personne qui peut crier comme une hystérique juste parce que tu auras poser ta main sur mon épaule alors que je ne t'avais pas remarquer. Le clown ? C'est moi.

La loyauté, c'est ma plus belle qualité. Être mon ami, c'est un privilège. Tu seras traité comme un roi, une reine. Je te ferai passer avant tout. Tu as un problème? Je te le règle. Tu t'es fait tabasser par un molosse qui pèse 20 tonnes? Attends je le castre. Tu veux une épaule pour pleurer? Viens mon chou. Tu veux apaiser ta peine et me raconter toutes tes souffrances? Reviens encore. J'ai énormément d'amis. Comme je l'ai déjà dit, je garde contact avec tout le monde. Malheureusement, cette loyauté amène à un très mauvais défaut qu'est la possessivité. Je suis sûrement un peu omniprésente dans la vie de mes amis. Sûrement cette peur de les perdre et de me faire remplacer. Pour l'instant, je n'ai jamais connu cette sensation qui doit être, très destructrice pour quelqu'un comme moi. Je croise les doigts, que cela ne m'arrive jamais.

Je suis le genre de fille très expressive, alors un rien peut me rendre heureuse ou bien malheureuse (c'est un grand mot, je fais juste la moue). Je pleure pour un petit chat errant que je ne peux pas ramener chez moi, pour une écharde dans mon doigt, parce que je ne comprends pas les mathématiques, pour une série à l'eau de rose, pour la mort de l'un de mes personnages préférés (dans un film hein), parce que je n'arrive pas à ouvrir mon jus de fruit (que j'explose par terre d'ailleurs). On peut le dire, je chiale pour un rien. Ce ne sont que des petites larmes de crocodiles qui s'évaporent dans la seconde qui suit. Une vraie gamine. Bien sûr, il m'arrive d'être véritablement triste, comme tout le monde. Un ami qui ne veut plus me voir (pour on ne sait quelle raison), une peine de cœur (j'espère que ça ne m'arrivera jamais), ou bien la perte d'un proche.

Alors, alors, voyons voir.. Il manque quelque chose. Bien sûr. La colère. Personne au monde ne vit sans colère. Il est vraiment difficile de me mettre en rogne. Je suis une personne positive à la vie, j'essaye de chercher des solutions plutôt que de laisser une rage incommensurable s'échapper de mon corps. La plupart des gens arrivent à ronchonner à cause d'un bébé qui hurle, d'un abruti qui ne sait pas conduire ou d'un colis qui n'arrive jamais à l'heure prévue. Je suis plutôt le genre de personne à s'énerver pour des choses extrêmes tels qu'un homme frappant sa femme devant mes yeux. C'est quelque chose qui peut vraiment me faire sortir de mes gonds. À partir de là, je deviens hystérique, carrément folle et il m'est impossible de me contrôler. Il me faudra énormément de temps avant de revenir à la normale.

En amour? Je n'en sais trop rien. Je ne suis jamais réellement tomber amoureuse de quelqu'un, parce que j'ai des crushs un peu de partout. Oui, je suis ce genre de personne qui tombe rapidement sous le charme de quelqu'un que ce soit par sa beauté, sa personnalité ou bien une action qu'il a fait. Il m'arrive de devenir toute rouge juste parce que l'on m'a complimenter. Bien sûr, la plupart des gens répondent gentiment, personnellement, je ris bêtement, rouge comme une pivoine, je lève mon pouce et je m'enfuis. Je suis déjà sorti avec un garçon, mais je n'avais pas compris le sens d'une relation amoureuse à l'époque. Je lui offre un tas de cadeaux, lui fais un tas de bons petits plats, etc. En fait, j'étais plus une groupie qu'une petite amie. Je suis pourtant très câline et tactile avec tout le monde (même les garçons qui sont mes amis dont je sais qu'il ne se passera jamais rien entre nous), mais avec mon petit ami, c'était à peine possible de lui tenir la main, de l'enlacer ou bien de l'embrasser, alors imaginer coucher ensemble. Je ne sais pas pourquoi, mais rien que de le regarder me gênait, j'étais toute rouge et mon cœur palpitait. Alors il avait décider de me quitter. J'ai pleurer, jusqu'à ce que je croise le regard d'un bel homme, le nouveau crush de la semaine.

Derrière l'écran