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Purificación Dolores Velázquez - YOLO !

Purificación D. Velázquez
Purificación D. VelázquezMannequin
Messages : 49
Âge : 28

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Purificación Dolores Velázquez - YOLO ! EmptyMer 11 Sep - 16:56

 

Votre personnage



Citation :
Prénom(s) et nom : Purificación Dolores Velázquez
Âge et date de naissance : 8 juillet 1995, 26 ans
Genre : Femme
Pays d'origine : Espagne
Orientation sexuelle : Hétérosexuelle
État civil : En couple
Profession : Mannequin à l'international


 
Histoire

 

Notre histoire commence à Séville, en Andalousie, dans le sud de l’Espagne. Pedro Luiz et Maria se sont rencontrés lors d’une soirée organisée par des amis en communs, alors qu’ils étaient encore étudiants, chacun dans une université différente. Ils s’étaient tout de suite plus. Pedro Luiz aimait Maria pour sa beauté et son intelligence, Maria aimait Pedro Luiz pour sa force de caractère et sa fougue. Le couple s’aimait passionnément et tout se passait pour le mieux. Leurs études étant maintenant terminées pour tous deux, Pedro Luiz devint employé, puis cadre dans une entreprise qui fabriquait et exportait de l’huile d’olive. Maria, quant à elle, fut embauchée en tant que chef de projet événementiel dans une entreprise promouvant le respect de l’environnement. Ils gagnaient donc bien leur vie et rien n’aurait pu prédire que tout allait subitement changer. Après plusieurs années de vie commune, les deux jeunes gens se marièrent. Cela faisait partie de la tradition : se marier, avoir une maison, puis des enfants.

Leurs familles respectives étaient toutes deux très croyantes. La cérémonie à l’église fut magnifique, le banquet qui s’en suivit également. Les mois, puis les années continuèrent à passer sans qu’aucun enfant ne vienne combler le couple. Ils essayaient, encore et encore, mais sans résultat concret. Alors quand finalement Maria annonça à Pedro Luiz qu’elle était enceinte, après tout ce temps à essayer, après tout ce temps à savoir qu’elle travaillait entourée d’hommes, Pedro Luiz commença à douter. Sa femme était magnifique, elle se faisait forcément courtiser à son travail, là où il ne pouvait pas la surveiller. Alors... Cet enfant était-il vraiment de lui ? Est-ce qu’elle ne lui mentait pas ? Les 9 mois de grossesse se passèrent dans une ambiance plutôt tendue, Pedro Luiz ne cessant de questionner sa femme sur ses activités dans son entreprise, sur les relations qu’elle avait avec tel ou tel collègue. Maria était épuisée de lui dire qu’elle n’aimait que lui, qu’il n’y avait jamais eu que lui… Mais rien n’y faisait. Des questions, des doutes, des crises de colère... L’Espagnole espérait que l’arrivée de leur fille allait changer les choses. Et l’arrivée de Purificación ne changea rien en bien, au contraire...

Ses prénoms, choisis par ses grands-parents très croyants, étaient censés lui attirer les grâces de Dieu pour qu’elle vive une vie joyeuse et agréable. Mais il faut croire que la foi ne fait pas tout. Les relations entre Pedro Luiz et Maria se détérioraient chaque jour un peu plus. Ils se criaient constamment dessus et pourtant, l’un comme l’autre ne pouvaient se résoudre à divorcer : c’était contre les enseignements de l’Église. Maria essayait de tempérer la situation et elle élevait sa fille du mieux qu’elle pouvait, la confiant le plus souvent possible à sa sœur Carmen, celle-ci étant au courant de la relation houleuse que sa sœur avait avec son mari et ne souhaitant que le bonheur de la petite Purificación qui n’était pas encore en âge de comprendre. Les années passèrent, elle grandit et comprit que ses parents criaient bien trop comparés à ceux qu’elle voyait avec d’autres enfants. L’année de ses 4 ans, son père fut licencié. Cela faisait bien trop longtemps que son travail laissait à désirer à cause de sa paranoïa concernant sa femme. Il n’avait jamais considéré Purificación comme sa fille, à cause de tous ces doutes qu’il avait, et la voir avec sa femme ne faisait que l’agacer puisqu'il s'était persuadé qu’un autre homme lui avait volé tout son bonheur.

Suite à son licenciement, il commença à boire. À beaucoup boire. Il commença aussi à frapper sa femme, à des endroits où ses coups n’étaient bien sûr pas visibles lorsqu’elle avait sa tenue de travail. Il voulait la punir de lui avoir tout volé. Il avait tout perdu par sa faute. Les cris étaient chaque jour plus présents, les coups aussi et bientôt, frapper Maria ne lui suffit plus. Pedro Luiz commença donc à s’en prendre à la petite Purificación qui pleurait chaque jour dans les bras de sa mère, mère qui commença alors à la rejeter à son tour. Si elle n’était pas tombée enceinte, jamais tout cela ne serait arrivé ! En plus des coups de son père, la petite Purificación n’avait plus le droit de dormir, de manger ou même de vivre sous le même toit que ses parents, l’abri de jardin étant devenu son nouveau refuge. La jeune fille sentait que ce n’était pas normal qu’on la frappe, qu’on lui tire les cheveux, et ce toujours le soir ou le week-end pour que rien ne paraisse quand elle retournait à l’école le lundi matin. Elle ne parlait pas, se renfermait sur elle-même et subissait. Elle était également la bête noire toujours mal habillée à l’école, la tête de turc qu’on aimait embêter en lui disant qu’elle ressemblait à une sorcière.

Ces années difficiles perdurèrent sans que personne ne remarque à quel point tout se passait mal dans cette famille. Carmen, la tante de Purificación, se demandait pourquoi soudainement sa sœur ne l’envoyait plus chez elle et pourquoi elle refusait même qu’elle lui rende visite. Elle s’inquiétait, mais elle ne voulait pas s’immiscer dans leur couple, de peur d’aggraver encore plus la situation pour sa sœur. Ce n’est que lorsque l’hôpital l’appela, l’année des 8 ans de la fillette, qu’elle décida de prendre les choses en main. Pedro Luiz avait frappé Purificación si fort que la pauvre demoiselle s’était cassé le bras et avait même perdu connaissance dans sa chute, alors qu’ils rentraient de l’école. La demoiselle avait osé demander à son père pourquoi il la tapait alors que les autres papas donnaient plutôt des bonbons à leurs enfants. Résultat, il n’avait pas apprécié et l’avait frappée, la laissant inconsciente sur le trottoir non loin d’un parc, furieux. Des passants ayant assisté à la scène l’emmenèrent aussitôt à l’hôpital et les médecins n’ayant réussi à joindre ni le père, ni la mère, c’est Carmen qu’ils finirent par appeler.

Celle-ci, après avoir constaté l’état de la jeune femme, décida de faire les démarches nécessaires pour s’en assurer la garde. Trop de bleus, trop de cicatrices… Si jeune et pourtant, la pauvre Purificación avait déjà traversé tant de choses difficiles... Les démarches furent longues, très longues, mais Carmen eut finalement gain de cause : elle allait pouvoir élever la petite comme si c’était la sienne. Mais les blessures étaient profondes : Purificación ne souriait plus, ne parlait presque pas, restait toujours dans son coin, assise par terre plutôt que sur son lit, dans sa chambre. Elle n’était pas habituée au confort et, surtout, elle ne savait pas comment elle devait se comporter avec sa « nouvelle famille ». Sa tante était adorable, elle faisait tout pour qu’elle se sente à l’aise et son mari l’y aidait du mieux qu’il pouvait, mais il fallut du temps pour que la pauvre fillette surmonte ses peurs, la peur de se faire frapper, la peur des cris. Ce ne fut qu’à partir de ses 11 ans qu’elle commença à reprendre une vie normale. Elle s’ouvrait doucement aux autres, s’épanouissait à son rythme et surtout, elle grandissait et devenait une superbe demoiselle.

Tant et si bien, qu’un après-midi, alors qu’elle quittait le collège en compagnie de deux de ses amies, un couple l’aborda, lui demandant si ça l’intéresserait de poser pour un magasine pour adolescentes. D’abord sceptique, sa tante lui ayant appris à ne pas faire confiance à des inconnus, elle jeta un œil à ces fameux magasines, des étoiles apparaissant dans ses yeux. Elle voulait être aussi jolie et porter d’aussi beaux vêtements que ces filles en photo ! Mais bien sûr, rien ne pouvait se faire tant que ses parents n’avaient pas donné leur accord. Le couple accompagna donc la demoiselle jusqu’à chez sa tante où une longue discussion commença. Carmen n’était pas d’accord, elle n’avait que 13 ans ! Est-ce que ça n’allait pas avoir un effet négatif sur sa scolarité ? Sans parler de toutes ces cicatrices qu’elle avait sur le corps… Mais en voyant les yeux suppliant de sa nièce, Carmen accepta finalement qu’elle fasse un essai, sous sa surveillance. Elle prit bien le temps d’expliquer au couple les épreuves qu’avait vécues la demoiselle, mais ça ne posait aucun problème, ils ne la brusqueraient pas et lui feraient porter les vêtements qui lui plaisaient. Le maquillage s’occuperait du reste si besoin était.

Et cette séance se passa merveilleusement bien. Carmen avait été épatée de voir l’aisance avec laquelle Purificación jouait avec les objectifs. Elle était ravissante, resplendissante. Il ne restait presque plus rien de la petite fille maltraitée qu’elle avait recueillie. Souhaitant que sa nièce continue à s’épanouir, Carmen accepta qu’elle soit officiellement embauchée en tant que mannequin pour des magazines destinés à des adolescentes, à condition qu’elle poursuive ses études comme n’importe quelle autre fille de son âge. Ce travail faisait du bien à la demoiselle. Elle allait mieux et ça se sentait. À la fin du collège, sa classe organisa un spectacle de danse. C’est à ce moment qu’elle découvrit le flamenco. Elle savait déjà ce que c’était avant, certes, mais en voyant devant elle sa professeure principale danser, taper des mains et des pieds avec tant de passion, elle fut tout simplement subjuguée. Au lycée, elle commença donc à prendre des cours de flamenco, en plus de son travail et de ses études. Autant dire que la jeune femme était très occupée !

Elle devenait toujours plus belle et, à force de grandir, son manager lui annonça que malheureusement, son contrat allait bientôt arriver à échéance. Purificación était vraiment malheureuse. Elle s’y attendait, mais l’annonce avait tout de même été rude. Fort heureusement, même si la jeune femme n’allait plus pouvoir poser pour des magazines destinés à des adolescentes, il lui restait toujours la possibilité de poser pour des magazines plus adultes. Son agence lui fit donc une proposition : à la fin de ses études au lycée, si elle le souhaitait, elle pourrait partir à l’étranger, dans l’une des filiales de l’agence principale, pour continuer à travailler pour eux. C’était génial ! Forcément qu’elle allait dire oui ! Il ne restait plus qu’à définir le pays qui l’accueillerait à la fin de ses années lycée ! Le choix fut difficile, mais elle opta finalement pour le Japon après avoir regardé quelques magazines de mode de là-bas. Leur sens de l’esthétisme, très différent de l’Espagne, lui avait beaucoup plu.

Carmen n’était forcément pas très heureuse de laisser partir sa fille à l’autre bout du monde, mais elle ne pouvait décemment pas lui refuser cette opportunité. Et puis, elle savait qu’elle serait entre de bonnes mains, vu que l’équipe qui suivait Purificación depuis ses débuts allait partir avec elle jusqu’au Japon. En revanche, elle eut une discussion avec sa nièce concernant son avenir. Elle ne pourrait pas définitivement jouer les mannequins. Si elle partait pour le Japon, il faudrait qu’elle fasse des études afin de se reconvertir. Après plusieurs recherches ensemble, Purificación décida qu’après le lycée, elle s’engagerait dans des études pour devenir psychologue. Son enfance, elle ne la souhaitait à aucun autre enfant et elle voulait venir en aide à ceux qui en avaient besoin. Entre shooting, cours de japonais et sorties entre amies, les années lycée de Purificación passèrent à toute vitesse, tant et si bien que le jour fatidique arriva : celui de ses 18 ans. Elle était majeure à présent et pouvait quitter son pays sans avoir besoin de l’accord de qui que ce soit. Bien sûr, elle ne serait jamais partie si sa tante n’avait pas été d’accord.

Et puis, maintenant qu’elle avait 18 ans, elle avait aussi accès à son compte en banque, déjà bien rempli grâce à ses années de travail en tant que mannequin. Purificación avait voulu partir sans attendre pour le Japon, mais avant de débuter ses études, son équipe lui proposa de prendre une année sabbatique pour bien approfondir ses connaissances de la langue en séjournant directement sur place. Purificación s’envola donc pour le Japon, en compagnie de son équipe et de sa manager, afin d’écrire une nouvelle page de sa vie. Même si elle était très triste de quitter sa tante et son oncle, elle savait que quitter son pays, qui lui rappelait quand même des souvenirs si douloureux, ne pourrait lui faire que le plus grand bien. Elle passa donc sa première année au Japon à travailler et à s’acclimater à cette nouvelle culture très différente de la sienne. Ce fut à ses 19 ans ensuite, prête à affronter des cours tenus entièrement en japonais, qu’elle put s’inscrire à l’université Seiei. Sa tante, bien qu’elle ne roule pas sur l’or, avait tenu à payer les frais d’inscription de la jeune femme pour ses études supérieures dans la ville de Kumoru.

Ses études en psychologie la passionnaient vraiment beaucoup. Elle travaillait d’arrache-pied, aussi bien dans ses études que dans son métier, sa réputation grandissant de plus en plus, jusqu'à lui permettre de se hisser sur les couvertures de grands magazines de mode, aussi bien au Japon que dans le reste du monde. Ce fut d’ailleurs à cause de cette subite hausse de popularité que Purificación fut obligée de suspendre ses études pendant une année entière, parce que des grands couturiers avaient demandé à ce qu’elle participe à certains de leurs défilés aux quatre coin du monde. Elle n’avait pas pu dire non à une telle opportunité et savait très bien qu’elle pourrait poursuivre ses études après cette année de pause. Et malgré cette notoriété grandissante, elle restait très humble. Son métier, elle l’adorait, mais elle savait qu’elle ne ferait pas ça toute sa vie, et elle savait même qu’avec la fin de ses études qui approchait, elle allait peut-être devoir tout arrêter pour se lancer dans cette autre voie qui la passionnait tout autant : la psychologie pour enfants.

Purificación termine donc ses études à 26 ans. Sa popularité est chaque jour grandissante, à tel point que des rumeurs circulent sur le fait qu’elle pourrait devenir la prochaine égérie de la marque Chanel. Elle continue donc de se dévouer entièrement à son métier de mannequin de renommée mondiale, consacrant tout le reste de son temps libre aux quelques proches qu'elle a dans cette ville de Kumoru, qui est maintenant devenue la sienne.

Depuis sa première visite en 2020, à l'occasion d'un défilé, Purificación s'est rendue à plusieurs autres reprises dans la ville de Nara, là où elle a fait la connaissance d'un jeune papa et de sa fille : Soren et Abigail Haruka. D'une première rencontre s'en sont suivies trois autres, avant que les deux adultes décident de passer la soirée du Nouvel an ensemble, sans se douter que cette soirée marquerait le début de leur relation de couple !



Physique

 

La première chose qu’on se dit en voyant Purificación, c’est qu’elle est incroyablement belle, mais que cette beauté est le reflet d’un caractère bien trempé. Ensuite, les pauvres Japonaises et Japonais se diront qu’elle est extrêmement grande. La demoiselle n’est pas mannequin pour rien et elle pourra ainsi vous toiser du haut de son 1m75, sans talons bien sûr. Sa silhouette est fine et élancée, loin d’être squelettique grâce à une poitrine présente sans être opulente, ainsi qu’un fessier lui aussi légèrement marqué. Elle est donc fine, mais pas dépourvue de formes. Elle est également légèrement musclée, sans que cela ne se voie trop, grâce à sa grande pratique du flamenco à ses heures perdues. Son visage mature, qui l’a souvent fait paraître plus âgée qu’elle ne l’était, est lui aussi fin mais élégant. Il est encadré par une cascade de cheveux d’un noir de jais, assez épais et naturellement ondulés, qui lui descendent jusque dans le creux des reins.

Et la chose qui vous frappera en premier lieu sur ce visage, ce sont ses yeux. Eux aussi d’une couleur sombre et profonde, tellement qu’on dirait qu’ils tirent vers le noir, ils vous captiveront dès le premier instant. On dit souvent que les yeux sont le miroir de l’âme et en regardant Purificación, vous pourrez vous rendre compte, sans même la connaître, que ce n’est pas une de ces pimbêches qu’on peut rouler facilement. Prestance et charisme, voilà les deux éléments qui font d’elle un mannequin très apprécié dans son milieu, mais qui lui donnent aussi parfois l’air d’être inaccessible, comme un bijou que l’on peut seulement admirer derrière une vitrine. Son regard est déjà naturellement intense, mais il l’est d’autant plus avec le maquillage qu’elle utilise, toujours très léger, mais suffisamment présent pour souligner ses traits magnifiques. Un joli nez droit, des lèvres légèrement pulpeuses, elle a vraiment tout pour faire chavirer les cœurs.

Des sourcils fins et bien dessinés, ainsi que des oreilles percées par deux fois chacune au niveau du lobe, mais aucun autre signe distinctif. Son travail ne lui permet pas des folies telles que des piercings ou même des tatouages et, de toute façon, ça ne l’intéresse pas. Et même si ces « marques » lui sont interdites avec son travail, son corps n’en est pas entièrement dépourvu. En effet, si vous y regardez de plus près, quand elle n’est plus vêtue que de sous-vêtements et qu’elle n’est pas entièrement maquillée, vous remarquerez que de nombreuses cicatrices ornent sa peau pourtant si douce et légèrement hâlée selon la saison. Purificación adore prendre des bains de soleil, sa peau le supportant très bien grâce à ses origines. Elle bronzera alors très facilement plutôt que de prendre des coups de soleils, mais elle fera attention à ne pas trop avoir la peau foncée si son travail nécessite que son teint soit plus clair. Ces cicatrices qu’elle arbore sont donc le fruit d’une enfance difficile passée avec des parents tout aussi difficiles. Fort heureusement, elles se masquent facilement avec un peu de fond de teint quand elle doit laisser apparaître certaines parties de son corps, que ce soit pour son travail ou dans la vie de tous les jours.

Concernant son style vestimentaire, Purificación porte des vêtements très élégants et féminins, ceux qui la mettent parfaitement en valeur, mais il lui arrive aussi de juste vouloir porter une tenue confortable, optant alors pour un jogging et un sweat un poil trop grand. La jeune femme est une princesse dans son travail, mais les princesses aussi ont besoin de moments de détente. Et puis, ce n’est pas parce qu’elle ne porte pas une robe d’un grand couturier qu’elle sera moins jolie, au contraire, on pourrait même dire qu’elle est une des rares personnes à pouvoir autant sublimer un jogging ou un pyjama autrement qualifiés de ringards. La jeune femme, pourtant grande, aura aussi tendance à souvent porter des talons, plus ou moins hauts, n’optant que très rarement pour des baskets plates qui ne lui permettent pas de souligner son galbe magnifique aussi bien que le feraient des escarpins. Et si jamais elle se retrouve dans une situation rendant le port de ses talons inconfortable, elle n’hésitera pas une seule seconde à les retirer pour carrément marcher pieds nus.



Caractère

 

Comme je le disais, on sait tout de suite, dès le premier regard, que Purificación est une jeune femme pleine de caractère. Peut-être que son sang espagnol y est pour quelque chose, ou peut-être tout simplement est-ce parce qu’elle a déjà traversé de nombreuses épreuves malgré son âge. Quoi qu’il en soit, vous remarquerez très vite que la demoiselle n’est pas de celles qui sont facilement influençables juste parce qu’un beau garçon leur fait du charme. Purificación est une femme forte et au caractère affirmé. Si quelque chose ne lui plaît pas, elle ne se gênera pas pour le dire, que cela fâche, vexe ou irrite. Les choses sont faites pour être dites et l’Espagnole n’ira généralement pas par quatre chemins. Ça passe parfois mieux quand on parle avec tact, mais ce sang chaud qui coule dans ses veines fait que, bien souvent, la demoiselle oubliera de prendre des pincettes. La douceur ou les jolis mots ne sont pas des choses qu’on a bien voulu lui apprendre quand elle était plus jeune, et elle les utilisera uniquement avec ses proches ou des personnes qu’elle souhaite vraiment aider.

Purificación est donc un diamant brut qui fascine par sa prestance et son charisme, mais qui repousse aussi beaucoup à cause de cet aspect très caractériel se manifestant sans même qu’elle ait besoin d’ouvrir la bouche. Quand un simple regard vous dit « tu ferais mieux de me foutre la paix si tu ne veux pas que tes tripes finissent autour de ton cou », il est assez difficile de s’approcher pour entamer la discussion. Et pourtant, si jamais vous vous y risquez, vous découvrirez une jeune femme pleine de vie et qui a le sourire facile. Elle parle fort, rit fort, c’est une très bonne vivante une fois qu’on a réussi à l’approcher et à l’apprivoiser un peu. La vie n’a pas été tendre avec elle et elle compte bien prendre sa revanche. Purificación est donc du genre hyperactive, préférant croquer la vie à pleine dents plutôt que d’attendre qu’elle se termine. Les regrets, elle n’en veut pas. Si elle veut quelque chose, elle se donnera tous les moyens de l’obtenir et n’hésitera pas une seule seconde à mettre la main à la pâte, même si cela signifie abîmer ses jolis ongles parfaitement manucurés.

La jeune femme est une vraie pile électrique qui ne semble jamais s’épuiser, aussi bien quand elle est entourée que quand elle est seule. Elle est toujours affairée à une activité, qu’elle soit sportive ou intellectuelle, ne supportant tout simplement pas ne rien faire. Il semble presque impossible pour elle de se reposer puisque, même quand elle se retrouve seule dans son lit, son cerveau ne lui laisse aucun répit, ressassant sans cesse les moments peu glorieux de son enfance, ce qui lui vaut donc parfois quelques insomnies. Il est difficile d’oublier de telles blessures, surtout quand votre corps vous les rappelle par de nombreuses cicatrices... L’Espagnole a toujours eu le sommeil très, très léger. À cause de ses cicatrices, Purificación est également quelqu’un d’assez pudique. Elle n’aime pas qu’on la touche et n’aime pas qu’on la regarde quand elle est en sous-vêtements, sauf quand elle travaille. Il faut bien faire des efforts et puis, l’équipe qui s’occupe d’elle le fait déjà depuis des années, ils sont un peu comme sa deuxième famille. Ce sont les seuls, avec ses proches, à pouvoir se risquer à l’approcher autant.

Malgré son apparence froide et un peu hautaine, l’Espagnole est une jeune femme sociable, avec qui il est facile de parler une fois qu’on l’a approchée, chose qui surprend tous ceux qui ont dû rassembler tout leur courage pour lui adresser la parole. Bon, bien sûr, si vous l’approchez simplement pour l’agacer ou pour ne rien dire, elle vous enverra très vite balader. Son caractère fougueux se traduit aussi bien dans ses paroles, quand elle est énervée ou fâchée, la demoiselle ayant un langage très fleuri dans ces moments-là et s’exprimant d’ailleurs le plus souvent en espagnol, que dans ses gestes, puisqu’elle parle beaucoup avec ses mains et ses bras, en les agitant au gré de ses mots. Mais elle n’hésitera pas non plus à utiliser ses membres pour vous mettre une bonne correction (ou tenter du moins). Si une injustice se déroule devant ses yeux, elle n’hésitera pas à foncer dans la bagarre, ce qui lui a déjà valu bon nombre de remontrances de la part de ses supérieurs, qui l’ont déjà retrouvée plusieurs fois avec des bleus au niveau du visage. Il ne faut pas oublier que son corps est son outil de travail après tout !

Purificación est aussi une femme passionnée, que ce soit pour le flamenco, son métier ou dans ses relations avec les autres. Si vous vous liez d’amitié avec elle, sachez qu’elle vous défendra contre vents et marées. Vous pourrez toujours compter sur elle. Son côté altruiste est aussi bien présent, surtout pour tout ce qui touche aux enfants. Si elle souhaite devenir psychologue pour enfants, c’est dans le seul et unique but d’aider les enfants dans le besoin, pour que plus jamais d’autres ne souffrent de maltraitance, comme elle a pu en subir plus jeune. C’est sans doute utopiste, mais c’est une grande rêveuse et amoureuse des enfants, qui n’attend qu’une seule chose : pouvoir couvrir elle-même ses enfants de tout l’amour qu’elle porte en elle. C’est aussi une demoiselle très indépendante et forte. Elle aimera aller au bout de tout ce qu’elle entreprend par elle-même, et sa fierté mal placée l’empêchera bien souvent de demander de l’aide. Elle est aussi très féministe et ne supporte pas les machos. Si vous osez lui dire qu’elle est inférieure à vous et qu’elle n’est bonne qu’à faire la vaisselle ou le ménage, vous risqueriez fort de ne plus pouvoir avoir de descendance.



Derrière l'écran


Votre pseudo : Pocky o/ Ou Dae 8D
Votre âge : 32 ans et presque toutes mes dents !
Comment vous avez découvert le forum : Très bonne question 8D
Votre avis sur le forum : L’est YÉ-NIAL !
Petit mot de la fin : Comme pour Alexander, ce personnage vient du forum Kumoru (dans les partenaires, allez voir, l’est yénial aussi ce forum 8D). Je vais donc essayer de ne prendre qu’un rp à la fois avec ce personnage, histoire qu’il se développe quand même plus sur son forum d’origine qu’ici o/ Si jamais vous voulez un rp avec elle, n’hésitez pas à me mp, qu’on s’organise ça ♥


Halloween