Votre personnage

Citation :

Prénom(s) et nom : Alexander Reynarsson
Âge et date de naissance : 27 ans, 21 mars 1994
Genre : Homme
Pays d'origine : Islande
Orientation sexuelle : Hétéro, mais si une mission implique de coucher avec un homme, aucun problème
État civil : Célibataire
Profession : Policier infiltré

Histoire

L’histoire d’Alexander commence avec la rencontre de ses parents, Reynar Ívarsson, un Islandais, et Ryoko Tanagawa, une Japonaise. Les deux jeunes gens se sont rencontrés à l’Université de Reykjavik, la capitale islandaise, alors qu’ils y étudiaient tous les deux dans des cursus différents. Reynar étudiait le droit, dans le but de devenir avocat, Ryoko, elle, était venue en Islande pour poursuivre ses études en langues nordiques, dans le but de devenir traductrice. Le coup de foudre n’a pas du tout opéré lors de leur première rencontre, c’était même plutôt tout l’inverse ! Ryoko, bien que japonaise, avait un sacré tempérament et Reynar était un coureur de jupons invétéré qui avait décidé de jeter son dévolu sur cette mignonne petite asiatique lors d’une soirée estudiantine. Ce fut sans doute le plus gros râteau de toute sa vie ! Mais l’Islandais était têtu et il n’avait pas envie de laisser tomber, pas quand on savait à quel point il était populaire ! Ce n’était pas cette petite étudiante qui allait lui résister ! Ce gros râteau fut suivi de plusieurs autres, jusqu’à ce que Reynar décide de changer d’approche, se faisant plus galant. À force d’essayer de la séduire et de la côtoyer, il était vraiment tombé amoureux et Ryoko, même si elle s’amusait à le repousser sans cesse, avait elle aussi finit par nourrir des sentiments à son égard.

Ryoko, qui devait rentrer au Japon à la fin de ses études, changea finalement ses plans à cause de Reynar. Ils étaient tombés fous amoureux l’un de l’autre et comme la demoiselle se plaisait beaucoup dans cet autre pays, elle décida d’y rester et le couple s’installa ensemble. Ryoko travaillait de chez elle, perçant doucement dans le monde de la traduction, travaillant énormément, presque plus que Reynar qui poursuivait son chemin dans le droit et qui était en bonne voie d’obtenir le poste de ses rêves en tant qu’avocat. Il voulait réduire les injustices de ce monde autant qu’il le pouvait, ainsi qu’empêcher des innocents d’être condamnés et des coupables de rester en liberté. Ce fort sens de la justice forçait le respect de Ryoko qui adorait le voir parler aussi passionnément de son travail. Et comme ils gagnaient suffisamment bien leur vie, qu’ils étaient à présent plus stables avec leur mariage et leur maison commune, ils décidèrent d’avoir un enfant. C’est à ce moment-là qu’Alexander pointa le bout de son nez.

Les nouveaux parents étaient comblés et Ryoko put même s’occuper comme il le fallait de leur enfant sans avoir à engager de nounou puisqu’elle travaillait de chez elle. Leurs journées étaient harassantes entre leurs boulots respectifs, les tâches ménagères et leur enfant, mais ils s’en sortaient bien. Ils allaient même régulièrement au Japon pour voir la famille de Ryoko qui vivait dans la ville de Kameyama. Ils étaient toujours ravis d’accueillir cette petite tête blonde dans la famille, n’ayant aucun préjugé sur le fait que leur fille ait décidé de se marier à un étranger. Elle était heureuse, c’était tout ce qui comptait. Alexander passait beaucoup de temps avec sa mère, sautant dans les bras de son père dès que celui-ci revenait à la maison parce qu’il adorait écouter ses histoires de gentils et de méchants. Du haut de ses 3 ans, il voyait déjà son père comme un super-héros, celui qui mettait les méchants en prison et qui sauvait tous les gentils. Ce fort sens de la justice de Reynar se transmit donc à son fils dès son plus jeune âge.

Alexander fut bien vite rejoint par une nouvelle tête blonde, avec l’arrivée, quelques temps plus tard, de sa petite sœur Sólveig. Il était alors âgé de 5 ans. Aussitôt, cette petite princesse fut surprotégée par son frère. Il l’adorait et voulait qu’elle soit heureuse, que personne ne s’en approche pour lui faire du mal. Il était comme ça avec elle, mais aussi avec tous les amis qu’il avait à l’école. C’était un garçon populaire, qui avait le contact facile et qui était toujours de bonne humeur. Tout le monde l’appréciait et admirait son courage. C’était toujours le premier à foncer tête baissée dans la mêlée pour sortir un camarade ou même un parfait inconnu d’une bagarre ou d’un mauvais coup, même quand c’étaient des personnes bien plus fortes ou âgées que lui qui se trouvaient en face. Il se voyait comme un petit justicier qui deviendrait, un jour, aussi cool que son papa ! Les années passèrent et tout allait pour le mieux. Reynar commençait à se faire un nom en tant qu’avocat qui réussissait la plupart de ses affaires, Ryoko était bien occupée avec son travail, et les deux enfants grandissaient dans un environnement plein d’amour et de joie de vivre.

Alexander était un garçon très studieux. Il était toujours dans les premiers de sa classe, aussi bien au collège qu’au lycée, intégrant bien rapidement la même université que ses parents. Il avait décidé d’être un justicier comme son père, mais, étant plus un homme d’action qu’un homme de parole, plutôt que de devenir avocat comme Reynar, l’Islandais avait décidé de devenir policier. Il voulait des courses-poursuites, des arrestations, de l’adrénaline, du danger… Il adorait toutes ces sensations ! Il voulait être comme un vrai super-héros, même à son âge ! Il entra donc en licence de droit dès ses 18 ans. Ses deux premières années se passèrent sans heurts, Alexander étant toujours aussi populaire, autant auprès des filles que des garçons grâce à son physique très plaisant. Le jeune homme eut plusieurs aventures, fut amoureux aussi, mais ça ne durait jamais très longtemps, ses partenaires finissant par se lasser de le voir aussi absorbé par ses études. C’était un gars sérieux le petit Alexander ! Il n’eut jamais de relation avec aucun homme, hormis un baiser et quelques mains baladeuses lors d’une soirée, mais ça n’avait jamais été plus loin, le blond préférant de très loin les jolies courbes des femmes.

Ce fut l’année de ses 20 ans qu’un drame survint. Pas directement, pas en Islande, mais au Japon. Lors de l’été 2014, un violent tremblement de terre secoua la ville de Kameyama, la ville d’origine de Ryoko. De grands dégâts étaient à déplorer, tout comme de nombreux morts. En apprenant la nouvelle, la Japonaise avait aussitôt appelé sa famille, simplement pour savoir si tout allait bien pour eux et les gens qu’elle connaissait. Ce coup de fil fut sans doute le plus déchirant de toute sa vie : Ryoko avait finalement réussi à joindre sa mère. Son père et sa petite sœur étaient tous les deux à l’hôpital. Son père avait quelques blessures plus ou moins légères, mais Eriko, sa petite sœur, était dans un état critique. Il n’en fallut pas plus à Ryoko pour acheter immédiatement un billet d’avion et quitter l’Islande pour retourner au Japon. Elle partit seule et eut tout juste le temps de voir sa sœur avant que le verdict ne tombe : Eriko n’avait pas survécu à ce tremblement de terre qui lui avait valu de se retrouver ensevelie sous les décombres de l’hôtel où elle travaillait en tant que réceptionniste.

Reynar, quand il apprit la nouvelle, dut faire face à un choix important : celui d’obliger sa femme à revenir alors que sa famille avait besoin d’elle à Kameyama, ou celui de la suivre pour apporter tout son soutien à sa belle-famille. Le choix ne fut pas bien difficile pour cet homme qui savait être inébranlable dès qu’il se retrouvait dans un tribunal, mais qui flanchait dès qu’il s’agissait de ses proches. C’était sans aucun doute sa plus grande force, mais aussi sa plus grande faiblesse. Alexander fut vraiment choqué d’apprendre la mort de sa tante qu’il adorait et avec qui il avait passé la plupart de ses vacances au Japon. Il n’hésita pas, lui non plus, à prendre l’avion en compagnie de son père et de sa sœur pour rejoindre leur famille maternelle. C’est ainsi qu’Alexander quitta l’Islande définitivement pour s’installer à Kumoru, une ville non loin de Kameyama, dans une nouvelle maison, avec ses grands-parents, ses parents et sa petite-sœur, tous ayant préféré déménager pour ne plus passer continuellement devant ce lieu maudit où leur chère Eriko avait perdu la vie. Ce changement fut assez difficile, même si l’Islandais était bilingue grâce à sa mère, et même malgré tous ces séjours passés au Japon. C’était un pays si différent du sien !

Il lui fallut un petit temps d’adaptation, mais fort heureusement, ses notes ayant toujours été excellentes, il n’eut aucun mal à reprendre ses études une fois à Kumoru, entrant à l’Académie Seiei pour finir sa deuxième année universitaire et entamer sa troisième. À la fin de sa licence de droit, Alexander passa un concours pour entrer dans la police. Même s’il se trouvait dans un pays différent, ses rêves n’avaient pas changé. Son père avait retrouvé un boulot en tant qu’avocat et sa mère travaillait toujours en tant que traductrice. Sólveig, quant à elle, était au lycée, elle aussi à Seiei. C’était une magnifique jeune femme qui avait, comme son frère, presque tout pris de son père. Elle ne savait pas encore bien ce qu’elle voulait faire de sa vie, mais avec un père avocat et un frère qui se destinait à devenir policier, elle-même avait très envie de se lancer dans des études de droit une fois à l’université. Sa relation avec Alexander était toujours aussi fusionnelle et leur famille remontait doucement la pente suite à cette perte tragique.

Alexander réussit avec brio son concours pour devenir gardien de la paix, l’année de ses 21 ans. Ce n’était qu’un début, mais l’Islandais était vraiment ravi de pouvoir servir au maintien de l’ordre dans cette nouvelle ville qui était la sienne. On ne lui confiait pas de missions dangereuses, il s’occupait principalement de la paperasse, mais ça ne le gênait pas. Il était sérieux et obstiné, il gravirait les échelons petit à petit. Mais, l’année de ses 24 ans, un incident le motiva à passer un nouveau concours pour gravir un peu plus rapidement ces échelons. Sólveig, âgée de 19 ans et maintenant à l’université, s’était faite agressée en pleine rue par une bande de délinquants. La demoiselle, qui avait un caractère aussi fort que tous les autres membres de sa famille, avait répliqué et ne s’était pas laissée faire, ce qui n’avait forcément pas plu à ses agresseurs. Cette résistance lui avait valu de se prendre un coup de couteau dans l’estomac. Elle fut hospitalisée le temps de se remettre de cette blessure qui n’était pas vraiment grave, mais savoir que des petites frappes pouvaient blesser la prunelle de ses yeux dans sa propre ville mit Alexander hors de lui. Il apprit que ces jeunes faisaient partie d’un groupe de dealers que la police avait du mal à trouver et à démanteler. Ni une, ni deux, Alexander passa son concours pour entrer à la criminelle dans l’espoir de leur mettre la main dessus.

Il réussit ce concours, une nouvelle fois haut la main, se retrouvant à présent en plein cœur de l’action. En plus d’avoir la satisfaction de se sentir plus utile et apte à rendre cette ville plus sûre, il ressentait aussi énormément de plaisir à se retrouver sur le terrain pour des missions plus risquées. Il adorait mener l’enquête, et toutes ses affaires finissaient par se résoudre sans trop de dommages collatéraux grâce à sa facilité à manipuler les gens. Plus qu’un travail d’enquête, Alexander adorait se rapprocher des personnes qu’il traquait. C’était tellement jouissif de jouer la comédie pour les amadouer et voir la tête qu’ils faisaient une fois qu’il leur passait les menottes et leur lisait leurs droits ! Alexander était tellement doué dans ce boulot, qu’après un an à la criminelle, ses supérieurs lui proposèrent de continuer officiellement son travail d’infiltration qu’il avait un peu fait à l’insu de sa hiérarchie jusqu’à lors.

Âgé de 25 ans, Alexander avait déjà réussi à arrêter quelques petits gangs, dont celui qui avait agressé sa sœur, mais il y avait toujours des rumeurs courant sur le fait que la mafia était encore bien présente à Kumoru. L’Islandais voulait en avoir le cœur net ! Il lui fallait donc partir en mission, devenir quelqu’un d’autre, se faire des contacts, trouver des informations, et enfin découvrir si oui ou non des organisations criminelles agissaient encore dans l'ombre. Et pour ça, Alexander était plus que prêt. Il savait que cette mission serait la plus belle mais aussi la plus dangereuse de toute sa vie, mais ce fut avec une grande détermination que le blond se prépara à entrer dans son nouveau rôle : celui de Finn Danielsson.

Les événements se sont succédés depuis le début de sa mission d'infiltration. Alexander a enchaîné les petites missions et les boulots de mercenaire pour divers gangs, voyageant parfois jusqu'à Nara. Pour l'heure, les rumeurs de la présence du Mitsubai-gumi ne sont toujours que des rumeurs, mais l'Islandais ne compte pas s'arrêter en si bon chemin. Il doit découvrir la vérité. Pour sa famille, ses amis et pour sa ville qu'il chérit tant !

Physique

Alexander est un bel homme, il ne faut pas se mentir. Du haut de son 1m92, il toise la plupart des Japonais de son entourage, ayant hérité de la grande taille de son père. Ce n’est d’ailleurs pas la seule chose qu’il a hérité de lui, puisqu’il lui ressemble à 90 % au niveau du physique. Sa silhouette est assez massive, l’Islandais s’entraînant très régulièrement, et depuis plusieurs années, à la boxe et à divers arts martiaux, en plus de courir, pour maintenir sa forme physique et sa musculature. Pesant environ 88 kg, Alexander arbore des muscles saillants au niveau du torse et des épaules, mais aussi au niveau des bras et des jambes, qui restent puissants, aussi bien pour la course que pour le combat. Ses mains sont grandes et fortes et, couplées avec sa silhouette, celles-ci vous donnent l’impression d’être à l’abri du moindre danger en sa présence. Il faut dire qu’un homme grand et costaud comme lui, ça a de quoi vous rassurer ou vous faire peur quand vous vous retrouvez face à lui et qu’il vous court après avec son arme dans les mains.

Alexander a donc hérité de la quasi-totalité des caractéristiques physiques de son père, arborant une chevelure blonde (qu’il a décidé de teindre dans un blanc/gris au moins aussi aléatoire que sa coupe), dont il ne prend pas vraiment soin. La seule chose à laquelle il fait attention, c’est sa frange. S’il y a bien une chose qu’il déteste, c’est avoir ses cheveux dans les yeux ! Ceux-ci sont, au final, un peu longs, venant recouvrir une partie de sa nuque et partant un peu dans tous les sens. Il avait essayé de les dompter en les plaquant avec du gel, mais ça lui donnait un air de délinquant alors il a préféré arrêter. Ses cheveux encadrent un visage masculin, avec une mâchoire carrée, des lèvres fines, un nez bien droit et des yeux d’un bleu azur. Ce trait aussi est hérité de son père, même si leur forme légèrement en amande trahit ses origines à moitié japonaises. Ses yeux étant assez fragiles face à la lumière intense du soleil, il ne sera pas rare de le voir affublé de lunettes de soleil, sa vue étant, hormis ce détail, parfaite. La pilosité d'Alexander n’est, quant à elle, pas hyper développée, restant assez discrète par sa couleur, et surtout présente sur ses jambes et ses bras.

Côté vestimentaire, Alexander porte de tout, même s’il a une préférence pour les jeans en coupe droite et les vêtements un peu plus chics. Il adore porter des costumes pour son travail, mais il n’aura rien contre porter un vieux jogging et un pull tout troué et trop large quand il ne bougera pas de chez lui. Il se moque bien de l’image que son apparence peut renvoyer aux autres quand il ne travaille pas, mais le policier qu’il est aime montrer qu’il est bien propre sur lui et donner l’impression que c’est un homme sur lequel on peut compter. Il n’est pas un grand adepte des bijoux, ne portant qu’une montre à son poignet gauche. Du côté des signes distinctifs, là aussi Alexander est resté soft. Il n’est pas percé et n’affiche aucun tatouage pour le moment, mais il arbore une tâche de naissance assez sombre au niveau de l’aine gauche. Dernier point : Alexander est un gros fumeur, il sera donc rare de le croiser sans une cigarette entre les lèvres.

Caractère

Alexander est quelqu’un d’assez difficile à cerner, puisque son boulot lui demande de bien savoir jouer la comédie. S’il n’avait pas hérité de ce sens si aigu de la justice par son père, nul doute qu’il aurait pu faire carrière dans le cinéma en tant qu’acteur ! Son statut de policier infiltré lui demande de savoir modeler sa personnalité selon les besoins de l’enquête en cours, et il faut avouer qu’il est très doué pour ça. Jouer l’amoureux transi, le dépressif au bord du suicide, le gros dur qui aime se bastonner, il peut endosser absolument tous les rôles qu’on lui imposera grâce à sa grande capacité d’adaptation. C’est quelqu’un de dévoué et de sérieux dans son travail, le faisant même un peu trop souvent passer avant tout le reste, même si sa famille restera toujours en première position dans ses priorités. Très fort mentalement, Alexander peut réussir à jouer tous ces rôles sans en oublier pour autant la personne qu’il est réellement. Et n’allez pas croire qu’il est une personne facilement malléable ! Il agira comme si c’était le cas en se pliant aux ordres uniquement quand son travail le nécessitera. C’est un fin manipulateur qui adore amener ses cibles à lui faire confiance pour mieux les pousser à la faute et les faire tomber.

C’est quelqu’un d’extrêmement courageux qui n’a pas froid aux yeux, ce qui peut être une qualité autant qu’un défaut. Alexander est du genre à analyser les situations qui se présentent à lui, à réfléchir et à agir seulement après avoir prévu plusieurs coups d’avance, mais il lui arrive aussi parfois de perdre son sang-froid, le faisant foncer tête baissée vers le danger. Il aime ressentir cette adrénaline et ses supérieurs lui ont plusieurs fois fait remarquer qu’il pouvait se montrer imprudent dans les situations où il perdait un peu son calme. Honnête et intègre, Alexander est quelqu’un qui ne supporte pas les injustices et qui n’hésitera pas à venir en aide aux gens qui en ont besoin. C’est quelqu’un de généreux, qui a le cœur sur la main, mais qui peut aussi se montrer froid quand il est confronté au mensonge. Vivant presque constamment dans un mensonge à cause de son statut d’infiltré, il ne supporte pas quand ses proches et des personnes qu’il connaît vraiment bien lui font des cachotteries.

Alexander a aussi gardé ses allures de beau gosse populaire. Quand il ne travaille pas et qu’il peut être lui-même, il est bien rare de le voir sans un grand sourire aux lèvres, à plaisanter et à rire avec ses proches. Il adore taquiner les gens, tester leurs limites, et c’est aussi quelqu’un d’assez tactile quoiqu’un peu pudique. Il n’aura aucun mal à prendre quelqu’un dans ses bras, mais dès que des sentiments plus forts se mêleront à ce contact, il se sentira un peu plus gêné. Il aime profondément sa famille, mais a toujours eu un mal fou à le leur dire clairement, même si ses gestes parlent bien souvent pour lui. Pas timide pour un sou, c’est typiquement le genre de personne à accoster un parfait inconnu dans la rue pour lui parler comme s’ils se connaissaient depuis des années. C’est quelqu’un à qui on fait facilement confiance, à qui on aime se confier. Il est un peu maladroit quand il s’agit de consoler les gens, mais il fera toujours tout son possible pour rendre ses proches heureux.

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