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Amelia, la Cendrillon des temps modernes

Amelia McClenahan
Amelia McClenahanMécanicienne/Hôtesse
Messages : 167
Âge : 30

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Amelia, la Cendrillon des temps modernes EmptyJeu 26 Juil - 12:20

 

Votre personnage



Citation :
Prénom(s) et nom : Amelia McClenahan
Âge et date de naissance : 27 ans, 8 juin 1993
Genre : Femme
Pays d'origine : Australie
Orientation sexuelle : Bisexuelle
État civil : En couple pas tout à fait ordinaire
Profession : Mécanicienne à mi-temps et hôtesse le soir


 
Histoire

 

Toutes les histoires de princesses commencent par un « Il était une fois ». Mais contrairement à Cendrillon, passée de souillon à princesse, Amelia McClenahan a choisi de prendre le chemin inverse.

Sydney, en Australie. L’histoire d’Amelia commence bien sûr avec la rencontre de ses parents. Noah McClenahan était né et avait grandi dans une prestigieuse famille. Prestigieuse et immensément riche. L’homme s’était rapidement tourné vers le secteur bancaire, se retrouvant, comme ses frères et prédécesseurs, à la tête de l’une des plus grandes banques du pays. Autant dire qu’un parti comme ça, ça avait de quoi faire rêver ! Mais ses parents ne comptaient pas laisser leur chère progéniture s’enticher d’une pauvrette, il en était hors de question ! Il fallait que Noah perpétue cette tradition de prestige et de richesse et pour ça, il lui fallait quelqu’un de son rang. Les mariages arrangés étaient encore monnaie courante dans cette haute sphère de la société et c’est donc Chloe qui fut choisie. Elle aussi venait d’une famille très stricte et au moins aussi riche que celle des McClenahan. Mais ici, il n’était point question d’affaires bancaires, mais plutôt d’un cabinet de notaires lui aussi extrêmement prestigieux dans cette grande ville australienne.

Les deux jeunes gens se rencontrèrent la première fois, sympathisèrent, mais au final, il n’y avait pas de véritable amour entre eux. Leur relation s’apparentait plus à deux bons amis qui aimaient se côtoyer quand ils en avaient l’occasion. Mais la société, et surtout leurs familles respectives, attendaient d’eux qu’ils se plient à un programme très strict. Se fiancer, se marier, acheter une maison et assurer la descendance. Noah et Chloe avaient toujours été du genre suiveurs, ils ne faisaient pas de vagues et se contentaient de répondre à toutes les attentes qu’on fondait sur eux. Ils suivirent donc les instructions de leurs familles, et bien vite, ils se retrouvèrent avec leur premier et unique enfant, leur petite princesse qu’ils décidèrent d’appeler Amelia. Un prénom doux pour une enfant toute aussi douce. Comme ses parents, elle suivait le mouvement, se faisait discrète et n’ouvrait jamais plus la bouche qu’il ne le fallait. Elle vivait dans un manoir si grand que la fillette se plaisait à se dire que c’était son château et qu’elle en était la princesse avec tous ces domestiques qui s’évertuaient à s’occuper de l’entretien.

Amelia ne manquait donc de rien, elle était pourrie gâtée, mais ce n’était pas des objets, du matériel, qu’elle voulait… La fillette voulait simplement voir ses parents plus souvent, qu’ils s’amusent avec elle et surtout qu’ils viennent la chercher à l’école. Pourquoi c’étaient toujours des domestiques qui venaient la chercher ? Est-ce que ses parents ne l’aimaient pas en réalité ? Amelia était perdue, elle avait toujours la tête baissée, le regard triste, et ses mains tenaient toujours fermement les bretelles de son cartable. Elle était très réservée et bien vite, malgré la fortune de ses parents, ses camarades se mirent à la taquiner. Ce qui revenait le plus c’était des remarques du genre « Oh ! Regardez, voilà mademoiselle la tomate ! À quel point est-ce qu’elle est mure aujourd’hui ? ». La fillette n’y pouvait rien si sa peau avait tendance à rougir à outrance dès lors qu’elle était au centre de l’attention ! Elle ne faisait pas exprès de rougir comme ça ! Et forcément, plus on la taquinait, plus elle rougissait et plus on se moquait… C’était un véritable cercle vicieux.

Amelia n’eut pas vraiment d’amis lors de son enfance, se contentant de ramener des livrets scolaires impeccables à ses parents qui ne savaient rien des taquineries bien trop persistantes de ses camarades. La demoiselle était assez mal dans sa peau et elle ne vivait pas vraiment bien le fait d’être toujours isolée, de ne pas avoir la force de réagir et de hurler sur ces gamins qui l’embêtaient. Mais elle ne le pouvait pas, ses parents n’apprécieraient pas qu’elle ne fasse pas comme les autres et sorte de ce moule qu’on lui avait imposé. Plus tard, elle serait belle et brillante, elle pourrait travailler dans le cabinet de notaires de sa mère… Mais Amelia ne voulait pas d’une vie comme ça. Les années passaient et la demoiselle n’avait pas vraiment de passion. Elle n’était pas douée en musique, ni en dessin, et le sport… Ce n’était pas assez féminin aux yeux de ses parents. Finalement, on accepta qu’elle s'essaie à la danse classique. C’était difficile, mais Amelia trouva enfin un exutoire dans cette discipline qui fut aussi sa toute première passion.

Amelia apprit à s’épanouir, à exprimer ce qu’elle ressentait grâce à la danse, mais aussi à accepter son corps qui devenait de plus en plus celui d’une femme. Et avec l’adolescence et tous ces changements, la jeune femme commença à développer un caractère qui lui était vraiment propre, bien loin du moule imposé par ses parents. À ses 16 ans, sur un coup de tête, la demoiselle se rendit chez un coiffeur pour se teindre entièrement les cheveux. Puisqu’on lui avait toujours dit qu’elle ressemblait à une tomate, elle allait donner une bonne raison à ses détracteurs de la qualifier ainsi ! Et forcément, quand Amelia rentra chez elle avec sa tignasse à présent flamboyante, ses parents en tombèrent des nues. Qu’était-il arrivé à leur fille si sage et réservée ? La crise d’adolescence était parfois plus virulente chez certains jeunes, et elle le fut plutôt assez chez la petite Australienne. Elle en avait marre de devoir faire ce qu’on lui disait, de se forcer à faire des choses qu’elle n’aimait pas, de côtoyer ces personnes inintéressantes mais dont la compagnie lui était imposée simplement parce que leur famille était pleine aux as. Amelia en avait marre, elle ne voulait plus être une princesse !

Et à ses 18 ans, quand la demoiselle atteignit finalement sa majorité, elle décida de couper carrément les ponts avec sa famille. Elle ne voulait plus de leurs attentes étouffantes, ni de leur argent. Elle allait se débrouiller toute seule, comme une grande. Elle quitta donc son château de princesse pour se réfugier chez une amie qui avait pu se prendre un appartement grâce à son petit boulot. C’était bien beau de tout quitter comme ça, sur un coup de tête, mais il allait lui falloir de l’argent à présent si elle voulait vraiment voler de ses propres ailes. Amelia commença par des petits boulots de serveuse dans des bars, mettant doucement de l’argent de côté le soir, consacrant ses journées à ses études. Mais le rythme était bien trop soutenu et les études de danse qu’elle avait commencées à suivre ne lui plaisaient pas. C’était certes sa passion, mais elle ne voulait pas en vivre. Elle voulait un boulot simple, proche des gens, où elle pourrait s’amuser tous les jours et découvrir de nouvelles choses. Au hasard d’une balade, ses pas la menèrent jusqu’à un garage dont la porte de l’atelier était grande ouverte et laissait aux badauds tout le loisir d’admirer le travail de ces hommes couverts de saleté allongés sur le sol, sous une voiture.

Ce fut la révélation pour Amelia. Elle avait toujours beaucoup aimé les travaux manuels et le bricolage, même si elle n’avait pas vraiment pu s’épanouir dans ce domaine à cause de ses parents, mais à l’école, dès que personne ne faisait attention à elle, c’était toujours elle qui réquisitionnait les Lego et les briques en tout genre pour construire des choses. L’œil brillant, elle décida de demander à l’un des employés de ce garage ce qu’elle pourrait faire pour un jour devenir mécanicienne elle aussi. L’homme sembla assez surpris qu’une fille aussi mignonne veuille se lancer dans un travail aussi salissant, mais il finit par la mener jusqu’au patron de ce petit garage. Lui aussi fut tout de suite séduit par cette jeune femme pleine de motivation et il décida finalement de la prendre à l’essai. Elle apprendrait sur le tas étant donné qu’elle avait terminé le lycée avec des notes excellentes. Il ne pouvait toutefois pas la prendre à temps plein et il lui avait conseillé de suivre quand même des études à l’université ou des cours particuliers au cas où elle finirait par ne plus avoir envie de travailler dans la mécanique automobile.

Amelia savait que c’était une précaution à ne pas négliger, mais étant vraiment quelqu'un de passionné, elle savait que son amour pour les outils et les moteurs ne lui passerait pas. Après de longues hésitations, elle décida finalement de se lancer dans des études de langue. Elle n’avait pas envie de faire comme tout le monde et opta donc pour le japonais. Elle maîtrisait parfaitement l’anglais et elle se voyait mal apprendre une langue européenne pour simplement suivre la masse. Ils étaient assez peu dans son cursus de japonais et cette langue était super compliquée, mais comme Amelia adorait les challenges… Elle se donna vraiment à fond ! Les années continuèrent à passer, Amelia maîtrisant chaque fois plus la mécanique et la langue japonaise. Et quand on lui conseilla, un jour, de partir directement au Japon pour s’imprégner encore plus de la langue, l’Australienne se lança sans hésiter. Après ses 5 ans à l’université, finalement diplômée, Amelia sacrifia ses petites économies pour acheter un billet en aller simple pour le Japon.

Elle arriva donc à Nara l’année de ses 24 ans. Amelia aurait pu choisir d’aller à Tokyo, ou dans une autre grande ville, mais après avoir épluché pendant de longues heures les brochures touristiques sur le Japon, elle était finalement tombée amoureuse de cette ville historique et paisible. Ce serait parfait pour continuer son petit bonhomme de chemin ! Mais voilà, comme elle n’avait travaillé qu’à mi-temps tout ce temps et qu’elle n’avait jamais voulu demander de l’aide à ses parents avec qui elle avait définitivement coupé les ponts, Amelia se retrouva à Nara sans vraiment avoir de quoi se payer un appartement digne de ce nom. Ce fut donc dans un petit logement presque un peu délabré qu’elle posa ses maigres bagages. Il lui fallut ensuite trouver un boulot, et ça, c’était bien plus compliqué. Une femme qui travaillait dans un garage, ça n’avait rien de banal et ils furent nombreux à la refuser simplement à cause de son genre. Mais Amelia ne perdit pas espoir, et ce fut finalement dans un petit garage familial qu’elle trouva une nouvelle place. Bon, c’était encore un mi-temps, mais ce serait toujours ça de pris pour ne pas se faire expulser de son appartement !

Cependant, après quelques temps, la jeune femme se rendit vite compte que ce simple boulot ne lui suffisait pas pour couvrir tous ses frais. C’était déjà tout juste pour le loyer, alors pour les courses… Amelia partit donc à la recherche d’un autre petit boulot pour réussir à boucler correctement ses fins de mois sans avoir à faire les yeux doux à son propriétaire afin qu’il accepte d’attendre un peu pour qu’elle puisse payer son loyer dans son intégralité. L’Australienne était partie pour postuler en tant que serveuse dans un bar, étant donné qu’elle avait eu un peu d’expérience dans ce domaine quand elle avait quitté son château de princesse, mais là encore, le hasard changea ses plans. Un bar d’hôtes et d’hôtesses. Elle avait déjà entendu parler de ces établissements pendant ses études, des lieux ou des hommes et des femmes payaient pour avoir un peu de compagnie. Amelia se regarda de haut en bas dans une vitrine. Elle avait toujours été une belle plante et elle assumait parfaitement son corps de femme. En grande joueuse qu’elle était, elle était aussi facilement devenue une séductrice, ce qui lui avait parfois permis de profiter de quelques avantages auprès de ses partenaires. Amelia savait que ces gens pouvaient parfois être amenés à coucher avec leurs clients pour les fidéliser, et ça ne lui plaisait pas vraiment de devoir se laisser toucher par des mecs dégueulasses mais bon… Elle devait vraiment récupérer de l’argent.

Elle finit par pousser la porte de cet établissement à l’ambiance tamisée. Toutes les femmes portaient des robes somptueuses et elle, à cause de ses soucis d’argent, elle arrivait ici avec un vieux pull sale et un jean troué. Mouais, y’avait mieux comme entrée en matière ! Mais aussitôt, on vint l’accoster quand elle parla de postuler dans cet établissement. Une femme un peu plus âgée, qui semblait être la supérieure de tous ces hôtes et hôtesses, l’emmena dans une loge pour qu’elle puisse se changer et se maquiller. Amelia se laissa pouponner et la femme fut vraiment subjuguée par le charme naturel que l’Australienne dégageait, charme encore plus sublimé par une belle coiffure, un peu de maquillage et une jolie robe. Elle aurait du succès c’était certain ! Surtout avec un sourire comme ça ! Et puis, l’exotisme des étrangères attirait beaucoup de clients ! Après une période d’essai, Amelia fut finalement embauchée.

Actuellement, l'Australienne se donne toujours à fond dans ses deux boulots, le jour en tant que mécanicienne et la nuit en tant qu’hôtesse. Si ce dernier boulot lui avait semblé ingrat au premier abord, le côté joueur et séducteur de la demoiselle ont pu pleinement s’exprimer là-bas. Et puis, grâce à tout ça, elle peut maintenant réussir à payer son loyer, ses courses et même se faire quelques petits plaisirs par-ci par-là ! Sa petite vie suit donc son cours, agrémentée de rencontres plus ou moins marquantes. La plus marquante d'entre elles restera sans aucun doute celle avec Kenji, lors d'une de ses pauses nocturnes. Les deux ont sympathisé, ont bien ri, se sont charmés aussi, et finalement se sont revus. Une fois, puis deux... Il aura fallu attendre quelques mois pour qu'ils arrivent enfin à mettre des mots sur leur relation et leurs sentiments l'un pour l'autre, leur permettant ainsi d'entamer une relation de couple bien loin des relations ordinaires. En même temps, avec des boulots et une personnalité comme les siens, c'était difficile de faire dans la banalité !

L'année 2019 fut plutôt paisible, du moins... au début. Amelia fit de belles rencontres autour du sport et, surtout, de l'auto-défense, se liant rapidement d'amitié avec Karin qui semblait avoir un tempérament au moins aussi explosif qu'elle. Puis, après tout ça... Survint le typhon. Typhon qui était un peu le cadet des soucis de l'Australienne qui était déjà sans nouvelles de son petit-ami depuis quelques temps. Sa fureur la fit débarquer à l'académie où il travaillait pour demander des explications, ce qui lui valut de se retrouver enfermée avec Kenji à Yokuboo jusqu'à ce que le typhon se calme. Blessée principalement aux pieds, la jeune femme dut bouger le moins possible et se faire aider par des collègues et amis pour les tâches comme les courses. Kenji aida lui aussi, et ce fut lors d'une de ces soirées ensemble qu'ils revinrent sur le passé de l'enseignant. Ils s'étaient déjà expliqué lors du typhon, Amelia avait fini par pardonner à Kenji mais... Il restait encore des non-dits et des solutions à trouver, comme celle qui pourrait enfin les débarrasser de ces yakuzas, membres de l'ancien gang de Kenji, qui ne cessaient de les traquer ou de les effrayer. Ça ne pouvait plus durer !

L'année 2020 fut elle aussi mouvementée à cause de ces histoires de yakuzas. Si Amelia avait essayé de continuer à vivre sa vie tranquillement, faisant quelques nouvelles rencontres franchement intéressantes aussi bien dans le bar où elle travaille en tant qu'hôtesse qu'en pleine ville, elle décida tout de même de passer plus de temps au club de boxe de la ville. Ses cours de krav maga étaient certainement suffisants, mais il valait mieux trop de bottes secrètes que pas assez pour faire face à ces criminels qui s'approcheraient un peu trop près d'elle pour lui en faire baver. Et, finalement, l'histoire se régla après un séjour de Kenji à Kumoru. Son retour à Nara, dans un piteux état, manqua d'ailleurs de mettre un terme à leur relation à tous les deux, Amelia n'ayant vraiment pas apprécié le ton qu'il avait employé avec elle alors qu'elle n'avait fait que s'inquiéter pour lui, et à juste titre ! Il leur fallut plus d'un mois pour réussir à recoller les morceaux et donner une nouvelle chance à leur couple, loin de toutes ces histoires de yakuzas...



Physique

 

Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’Amelia est une femme vraiment sublime. Sa silhouette est très féminine, avec de jolies courbes qui en feraient baver plus d’un. Mesurant environ 1m68 et pesant tout juste 60 kilos, Amelia est loin d’être un sac d’os, elle est même assez musclée étant donné que c’est une vraie pile électrique qui ne sait pas vraiment se poser plus de deux secondes sous peine de mourir d’ennui. Mais même si son métier de mécanicienne est physique, son corps reste très féminin et souple grâce à sa grande pratique de la danse. Elle est peut-être un peu loin des standards de la mode qui pourraient lui permettre de devenir mannequin, mais elle s’en moque bien. Même si ses hanches sont un peu plus larges, elle aime sa silhouette et aime aussi surtout en jouer. Amelia se sait belle, et elle aime plaire et séduire. Il faut dire qu’en plus, même si sa silhouette passe assez inaperçue au Japon bien qu’elle soit un poil plus grande que la plupart des Japonaises, il y a plusieurs détails de son physique qui vous feront obligatoirement tourner les yeux vers elle.

Vous ne pourrez pas ignorer sa chevelure flamboyante, d’un rouge vif, couleur qui est bien évidemment une teinture. À la base, Amelia avait les cheveux châtains, une couleur on ne peut plus banale qu’elle a vite chassée de sa vie dès lors que l’adolescence est venue frapper à sa porte. Ses sourcils sont fins et finement épilés, assez sombres même si elle s’amuse parfois à les colorer de rouge juste pour les assortir à la couleur de sa longue crinière qui lui tombe jusqu’au creux des reins. Ces sourcils surmontent un regard qui lui aussi ne pourra pas vous laisser indifférent. D’un bleu azur, Amelia s’amuse souvent à accentuer leur couleur claire grâce à de l’eyeliner et du mascara. Elle n’est pas une grande adepte du maquillage, mais elle sait parfaitement mettre ses atouts en valeur. Sa peau est assez claire en hiver, mais dès que l’été pointe le bout de son nez, la demoiselle s’amuse à lui faire prendre un joli teint hâlé. Ses ongles sont quant à eux parfaitement manucurés (malgré son travail de mécanicienne) alors que ses lèvres légèrement pulpeuses donneraient envie à quiconque de les embrasser.

Côté vestimentaire, Amelia change du tout au tout selon le moment de la journée. Quand elle est chez elle, seule, elle optera pour des tenues tout sauf sexy mais dans lesquelles elle se sentira vraiment à l’aise. Travaillant comme mécanicienne en journée, la demoiselle a aussi un petit côté garçon manqué, se moquant bien d’être couverte de saleté, de cambouis ou même complètement décoiffée. Quand elle travaillera dans son garage, son apparence lui importera vraiment peu et elle préférera se concentrer sur ses outils et les véhicules qu’on lui ramènera. Et enfin, il y a la Amelia qui aime son corps féminin et qui s’assume. Quand elle travaillera en tant qu’hôtesse, elle sera toujours très bien vêtue, avec des tenues chics et mettant parfaitement ses formes en valeur. Des jolies robes, des décolletés plongeants, des talons hauts… Inutile de vous dire que si vous croisez Amelia en journée, puis en soirée, vous aurez bien du mal à vous dire qu’il s’agit de la même personne tant son style est différent ! Ceci étant dit, à part ses oreilles qui sont percées de 3 trous chacune en plus d’un trou au cartilage sur son oreille gauche, Amelia ne porte pas de piercings ni de tatouages.



Caractère

 

Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’Amelia a un caractère aussi flamboyant que sa tignasse. Un tempérament de feu qui tranche énormément avec la jeune femme qu’elle était quand elle vivait encore chez ses parents. Adieu la demoiselle effacée, timide et peu bavarde qu’on ne remarquait jamais ! Aujourd’hui, Amelia est une femme très charismatique qui attire aussitôt l’œil de par son physique, mais aussi grâce à son caractère jovial. Toujours de bonne humeur, son si beau sourire étirant presque constamment ses lèvres, la demoiselle respire la joie de vivre. Très sociable, elle n’hésitera pas à aller vers de parfaits inconnus pour leur parler comme s’ils se connaissaient depuis des années. Elle n’a pas sa langue dans sa poche, et quand elle ne travaillera pas en tant qu’hôtesse, métier qui l’oblige à flatter et à faire attention à ce qu’elle dit, Amelia aura tendance à parler sans filtres, lâchant tout ce qui lui passe par la tête, qu’importe si ça blesse ou pas. Elle n’aime pas vraiment tourner autour du pot.

Il faut dire que l’Australienne n’est pas très patiente. C’est sans doute ce qui lui vaut d’être aussi hyperactive et aussi allergique au fait de ne rien faire. Il faudra toujours que son corps ou son esprit s’active sous peine de la voir sombrer dans un ennui sans nom qui la mettra de très mauvaise humeur. Et quand Amelia est de mauvais poil, ce n’est vraiment pas le genre de personne qu’il faut un peu trop titiller. Son côté garçon manqué lui vaudra de parfois réagir au quart de tour et d’en venir aux mains si on l’emmerde un peu trop. Et en plus d’être assez impulsive et un poil colérique, Amelia a un langage très fleuri. Elle est parfois même plus vulgaire que ses collègues masculins au garage où elle travaille en journée, c’est pour dire ! La jeune femme se fiche bien de choquer, c’est son caractère et elle part du principe que c’est comme ça qu’il faut l’accepter. C’est donc parfois assez dur pour elle de jouer la comédie lorsqu’elle revêt son insigne d’hôtesse. Mais même si c’est dur, Amelia est assez douée pour faire semblant et mentir, sans doute parce qu’elle adore séduire et plaire, n’hésitant pas à user de son physique avantageux pour faire tourner les têtes.

À côté de ça, Amelia est une personne entière et passionnée. Quand elle se lance dans quelque chose, aussi bien un projet qu’une relation, elle s’y jettera à corps perdu, fonçant souvent tête baissée sans réfléchir. C’est une amie sur qui on pourra toujours compter, prête à envoyer balader ses patrons pour venir en aide à un proche. Elle est capable de soulever des montagnes dès lors qu’elle vous porte dans son cœur. Fidèle, elle reste cependant prudente en amour, ayant souvent été blessée à cause de son caractère passionnel. Quand elle vous choisit, elle ne le fait pas à moitié ! C’est aussi une grande joueuse, adorant taquiner les gens juste histoire de voir s’ils sont capables de lui répondre. Amelia est une jeune femme qui n’a pas non plus froid aux yeux. Téméraire, elle adore relever des défis qui lui semblent insurmontables, et elle aura tendance à ne pas vraiment prendre le danger au sérieux, ce qui lui vaut souvent de s’attirer des problèmes. Le pire étant qu’elle ne semble même pas apprendre de ses erreurs en adoptant la philosophie YOLO.



Derrière l'écran


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Petit mot de la fin : Je vous aime mes membres adorés ! ♥.♥


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