Votre personnage

Citation :

Prénom(s) et nom : Anders Johansson
Âge et date de naissance : 18 ans
Genre : Homme
Pays d'origine : Japon (origines islandaises)
Orientation sexuelle : Hétéro
Cursus et spécialité : Cursus sport, spécialité Entraînement sportif
Année d'étude : 2e année
Clubs : Basket, littérature et natation

Histoire

L’histoire d’Anders commence avec l’histoire d’amour de ses parents. Et autant dire qu’on est plutôt loin du conte de fées ! Johan et Koiko se sont rencontrés par le plus grand des hasards dans une salle de tir. Lui, était policier, un Islandais venu au Japon avec ses parents puisque sa mère était originaire de ce pays. Elle, était une conceptrice de jeux vidéo japonaise. Dire que le coup de foudre a opéré dès leur première rencontre ne serait pas tout à fait faux, même s’il serait plus juste de parler de coup de feu. Koiko avait en effet manqué de tirer sur le pauvre Johan qui l’avait surprise en faisant irruption pendant sa séance de « détente ». Les deux ont discuté, rit, flirté… Leurs caractères, qui étaient souvent qualifiés « de merde » par leurs proches, se mariaient étrangement bien et le feeling avait été plus que bon dès leurs premiers échanges. Ce fut donc tout naturellement qu’ils se revirent et que leurs sentiments l’un pour l’autre évoluèrent. La seule ombre au tableau, c’était la profession de Johan. S’il était simple policier lors de leur rencontre, son statut était sur le point d’évoluer : l’Islandais avait toujours souhaité aller plus loin dans la lutte contre le crime et avait donc convenu, avec ses supérieurs, que sa prochaine mission serait une mission d’infiltration dans un gang très influent des environs. La situation allait donc se compliquer pour le couple amoureux : Johan ne pourrait plus revoir Koiko sans risquer de la mettre en danger, il allait devoir changer d’identité et surtout… son quotidien promettait d’être plus que risqué. La jeune femme savait très bien ce que ce changement impliquait, mais elle était prête. Johan l’avait prévenue au tout début de leur rencontre, et elle voulait croire que leur amour serait plus fort que cette épreuve. Et puis, en bonnes têtes brûlées qu’ils étaient tous les deux, elle savait pertinemment qu’elle ne pourrait pas empêcher Johan de partir. Son boulot, c’était toute sa vie. Elle l’avait accepté et c’était comme ça qu’elle l’aimait.

Les années passèrent donc pour le couple, toujours amoureux malgré les nombreux secrets et la distance qui leur était imposée. Le quotidien de Johan était compliqué, son entrée dans le gang en question ne fut pas simple, mais il y parvint. Le seul problème était que ce nouveau quotidien et ce qu’on l’obligeait à faire pour le compte de son boss, étaient en train de changer Johan. Il n’était presque plus que l’ombre de lui-même, ses cicatrices augmentaient de mois en mois et Koiko s’inquiétait toujours plus. À chaque fois que le téléphone sonnait, elle avait toujours peur que la voix au bout du fil lui apprenne qu’on avait retrouvé le cadavre de l’homme de sa vie dans un caniveau… Malgré tout, le temps passa et rien ne changea. Johan continuait de jouer les flics infiltrés, pendant que Koiko restait seule à la maison en attendant ses rares visites. Ce fut d’ailleurs lors de l’une d’elles qu’ils conçurent leur premier enfant. Quand Johan apprit qu’il allait devenir père, cela eut l’effet d’un électrochoc. Il ne pouvait pas laisser l’amour de sa vie et sa future fille se débrouiller seules ! L’enquête accéléra alors soudainement et la police parvint à démanteler le gang grâce à l’aide et au grand sacrifice de Johan. L’Islandais était fier de lui. Il allait pouvoir retrouver un quotidien paisible, vivre avec Koiko et Ariana, sa petite fille qui avait déjà quelques mois.

Toutefois, le retour à la normale ne fut pas des plus simples. Après avoir vécu autant d’années dans un tel milieu, à craindre chaque seconde pour sa vie, Johan n’était plus celui que Koiko avait connu. Il avait beau avoir repris un poste de simple policier, passant plus de temps dans un bureau que sur le terrain, l’Islandais n’était pas pour autant plus présent à la maison. Il se lança en effet à corps perdu dans son travail, comme s’il essayait de retrouver cette petite étincelle qui lui donnait l’impression d’être encore en vie. Espérant sauver leur couple qui battait clairement de l’aile, les deux adultes décidèrent de concevoir un deuxième enfant : un garçon qu’ils prénommèrent Anders. Mais même si Johan était un papa poule dès lors qu’il était avec ses enfants, il ne passait pas plus de temps chez lui. Son boulot l’accaparait et il avait toujours l’air absent quand il était seul avec Koiko. Il n’arrivait à retrouver un semblant de vitalité que lorsqu’il s’occupait de ses deux enfants. La Japonaise laissa passer encore un an après la naissance d’Anders, mais la situation n’évoluant pas, elle craqua. Toutes ces années qu’elle avait passées à l’attendre, à espérer qu’ils pourraient retrouver une vie normale après sa mission… Elle n’en pouvait plus. Elle avait l’impression que toutes ces années avaient été gâchées. Ce fut donc lors d’une grosse dispute que Koiko annonça à Johan qu’elle le quittait. Le coup de massue fut tellement inattendu et brutal pour l’Islandais qu’il ne parvint pas à trouver les mots pour la retenir, se retrouvant avec Anders âgé d’un an dans les bras, et la petite Ariana accrochée à son pantalon, âgée de trois ans. Koiko avait décidé de tout plaquer : elle avait démissionné et avait fait ses valises pour partir loin de la ville de Nara où ils vivaient tous les quatre. Et puisqu’elle était bien décidée à tourner définitivement la page, elle asséna à Johan qu’elle ne voulait plus jamais entendre parler de lui, ni de ses enfants. Si l’Islandais pouvait comprendre qu’elle le quitte, il resta sous le choc de cette dernière annonce. Ne plus revoir les enfants… Elle en était donc arrivée à ce point de non-retour ? Et lui ne l’avait jamais remarqué ?

Voilà que donc, du jour au lendemain, le pauvre Johan se retrouvait en papa célibataire sans trop savoir comment s’y prendre, surtout avec Anders qui était encore un bébé. Fort heureusement, il put compter sur le soutien de sa famille : ses parents et sa sœur. Il dut aménager son emploi du temps pour s’occuper comme il fallait de ses deux enfants. Le départ de Koiko lui avait fait ouvrir les yeux : il avait merdé sur toute la ligne et il comptait bien se rattraper ! Il aimait ses enfants plus que tout, il le savait ! Il fallait juste qu’il arrive à décrocher pour de bon de cette addiction au travail et à l’adrénaline. Les premiers temps furent donc compliqués, Johan étant assez maladroit, mais il s’en tira finalement plutôt bien. Son meilleur ami, qui était aussi un collègue policier, avait toujours été très proche de lui et très présent. Ils passaient beaucoup de temps ensemble, sa femme faisant presque office de mère de substitution pour Ariana et Anders, qui se retrouvaient même presque avec deux autres frères ! L’un d’eux était un peu plus âgé qu’Ariana, et le petit dernier avait le même âge qu’Anders. Johan était vraiment soulagé de voir que ses deux enfants étaient constamment entourés et qu’ils s’épanouissaient sans problèmes.

L’enfance d’Anders se passa donc relativement bien. Sa sœur prenait toujours soin de lui et le défendait, parce qu’il avait tendance à être un peu trop chouineur sur les bords. Même s’il n’était âgé que d’un an lorsque sa mère avait quitté la maison, des souvenirs subsistaient toujours dans sa petite tête. Son père n’avait pas voulu lui raconter la vérité, se disant qu’il était encore trop jeune, mais ces secrets avaient fini par faire croire au petit Anders que c’était lui et sa naissance qui étaient à l’origine de ce départ. Il grandit donc avec ce fort sentiment de culpabilité et un grand manque de confiance en lui. Il se faisait souvent embêter par ses camarades, mais fort heureusement, il pouvait compter sur Ariana, qui n’hésitait pas à se battre contre les garçons qui embêtaient son petit-frère, ainsi que sur Liam, son meilleur ami et le fils du collègue de son père. Les deux garçons étaient d’ailleurs devenus inséparables, Anders se retrouvant toujours à courir après Liam. C’était le petit suiveur, mais les deux garçons s’entendaient parfaitement bien de cette façon. Ce fut d’ailleurs cette amitié très forte qui permit à Anders de s’affirmer avec les années.

Dès tout jeunes, Anders et Liam développèrent une grande passion pour le basket, passant le plus clair de leur temps à jouer ensemble. Ils dormaient, se levaient, mangeaient et allaient directement jouer avec leur ballon orange, ne s’arrêtant que lorsqu’il était l’heure de manger ou d’aller se coucher. Ce fut donc dans cet environnement bercé par le basket, son amitié avec Liam, ainsi que son lien très fort avec sa sœur et son père (qui était devenu presque plus une mère poule qu’un papa poule), qu’Anders continua à grandir. Contrairement à son meilleur ami, l’Islandais était très bon à l’école. Il était curieux de tout et n’avait aucune difficulté à apprendre. Ses notes étaient bonnes et son cercle d’amis grandissait à mesure qu’il s’épanouissait et prenait confiance en lui.

Rien de particulier ne fut à signaler pour le reste de son enfance. Anders était heureux, il était entouré de tout un tas de personnes qui l’aimaient et qu’il aimait. Mais il ne pouvait toujours pas se défaire de cette culpabilité qui le rongeait, persuadé que tout ce qui avait pu arriver à son père était sa faute. Ce dernier avait beau lui avoir expliqué qu’il n’y était pour rien, et que c’était son absence à lui en tant que père et conjoint qui avait provoqué cette séparation, Anders ne parvenait pas à s’en persuader. Quoi qu’il en soit, peut-être était-ce cette histoire avec sa mère qui en était la cause, mais Anders commença à développer un petit côté séducteur à l’approche du lycée. Il était beau garçon, sûr de lui, sportif… Toutes les filles craquaient pour lui et l’Islandais avait tendance à un peu trop aimer ça. Sans doute un manque affectif qu’il tentait de combler… Ce fut d’ailleurs à la fin du collège qu’il eut sa première copine, mais cette relation ne dura pas. Anders aimait trop être apprécié et au centre de l’attention, et il avait l’impression que s’enfermer dans ce statut de couple avec cette fille le priverait de trop de choses.

Anders entra donc au lycée en étant toujours aussi proche de Liam et accro au basket. Depuis qu’il avait commencé à jouer en étant tout gosse, l’Islandais souhaitait percer dans le monde du basket professionnel. Ce fut d’ailleurs grâce à ses performances au basket et à ses bonnes notes qu’il put décrocher une bourse et aller étudier à Yokuboo. Si la famille de Liam avait toujours été riche (en même temps, avec un père héritier d’une grosse fortune et une mère mannequin, égérie de marques renommées…), c’était un peu le contraire pour Anders. Son père subvenait seul à leurs besoins à tous les trois avec son job de policier. Leur maison était donc plutôt petite et il n’avait pas autant d’argent de poche que Liam, mais Anders n’avait jamais été jaloux. Il savait que son père faisait tout pour qu’ils puissent vivre correctement, et il ne pourrait jamais lui en vouloir de ne pas pouvoir leur donner plus à lui et à sa sœur. D’ailleurs, à la maison, tout le monde participait aux tâches ménagères. Anders était donc une vraie fée du logis, qui savait aussi bien s’occuper du ménage que de la cuisine. C’était chacun son tour et il était hors de question de rechigner à la tâche ! Ariana et Anders étaient de vraies perles et le ton n’était finalement que très rarement monté entre Johan et ses enfants.

Pendant ses années de lycée, Anders était comme un poisson dans l’eau. Sa popularité allait en grandissant dans tous les domaines : il se classait dans les premiers de sa classe, il était l’un des meilleurs avec Liam au club de basket, et il enchaînait les aventures avec les filles. Ariana étudiait aussi à Yokuboo et il n’était pas rare de voir les deux têtes blondes se retrouver par moments. Mais le lycée passa finalement à toute allure, entraînant donc le choix fatidique de la suite de ses études. Anders avait toujours été passionné de basket, mais ses professeurs l’avaient sans cesse poussé à choisir une voix plus stable. Après tout, il était doué dans toutes les matières et il pourrait facilement se lancer dans la carrière de son choix. Mais non, l’Islandais était borné : il voulait suivre son meilleur ami et continuer le basket. Il put donc entrer à l’université de Yokuboo après ses trois années de lycée là-bas, pour se lancer dans des études sportives. Il n’avait pas abandonné son rêve de devenir un jour joueur de basket professionnel, mais si jamais son rêve ne se réalisait pas, Anders avait pour objectif de devenir entraîneur. Peut-être qu’en grandissant il changerait d’avis, mais, pour l’heure, il voulait que son quotidien continue d’être rythmé par le basket, son lien avec son meilleur ami et la présence de ses proches.

Et cette première année à l'université, en 2020, se passa plutôt bien ! Anders a pu, pour commencer, faire la rencontre d'Akio, un étudiant qu'il avait rencontré quelques mois plus tôt sur Internet et avec qui il avait beaucoup échangé. Il avait eu un peu peur de le rencontrer en vrai, comme effrayé à l'idée que rien ne soit pareil sans leurs écrans interposés, mais le feeling passa encore mieux que virtuellement, et les deux étudiants devinrent finalement de très bons amis, passant pas mal de temps ensemble lorsqu'Anders n'était pas à s'entraîner au basket ou avec ses conquêtes. Parce que l'Islandais n'a effectivement pas perdu de temps ! À peine devenu étudiant, le blond a enchaîné les histoires sans lendemain, dont une avec Haru Shimizu. Une relation de couple parfaitement orchestrée et qui arrangeait bien les deux parties, mais qui s'était finie assez étrangement par un silence radio de la part de la demoiselle. Ce ne fut que quelques mois plus tard qu'Anders eut les explications tant attendues, et qu'il accepta finalement de devenir ami avec cette jeune femme amnésique suite à un accident. En tout cas, après ce passage à la piscine avec Akio en fin d'année scolaire, Anders avait vraiment hâte de commencer sa 2e année d'étude à Yokuboo puisqu'il s'était finalement inscrit au club de natation ! Pour mater bien évidemment, barboter dans l'eau ça ne l'intéressait absolument pas !

Physique

Anders est clairement un beau gosse, personne ne pourra le nier. Son métissage n’est pas vraiment visible, on croirait presque qu’il s’agit d’un Islandais fraîchement débarqué alors qu’il a toujours vécu à Nara. Il est grand, ce qui est un atout non négligeable pour son sport de prédilection, le basket : il mesure pas loin de 1m86, pour un poids d’environ 78 kg. Il faut dire qu’avec ses beaucoup trop nombreuses heures d’entraînement, le corps d’Anders est parfaitement sculpté et musclé juste ce qu’il faut pour que ce ne soit pas désagréable à regarder.

Si on s’approche un peu pour passer aux détails, on remarque aussitôt que la tignasse d’Anders est d’un beau blond. Coupés courts pour ne pas qu’ils le gênent lorsqu’il s’entraîne, l’Islandais n’en prend pas vraiment soin et les laisse se mettre comme ils le veulent. Il sait très bien que son côté un peu négligé fait encore plus craquer, donc il en joue ! Il ne sera d’ailleurs pas rare de le voir avec un bandeau pour les maintenir en arrière quand le moment de se rendre chez le coiffeur approchera. Ses yeux sont quant à eux d’un bleu azur dans lesquels il est plutôt facile de se perdre. Du genre très expressifs, vous pourrez aisément y déceler la malice et le charme quand il parlera avec vous, ainsi que la détermination et le sérieux quand il jouera au basket. Au niveau pilosité, Anders n’est pas vraiment embêté. Il n’est pas très poilu de base, et comme ses poils sont blonds, ils ne sont pas forcément visibles. Sa peau est quant à elle plutôt exempte d’imperfections, même s’il n’est pas à l’abri de voir pousser quelques petits boutons de temps en temps. Et puisqu’Anders passe beaucoup de temps en extérieur à jouer au basket, elle prendra facilement une teinte légèrement bronzée. Ses mains sont quant à elles assez grandes, et on lui a souvent dit que se retrouver dans ses bras avait quelque chose de réconfortant parce qu’on avait l’impression d’être à l’abri de tout.

Côté vestimentaire, Anders n’est pas très difficile. Il pourra porter de tout, du moment que c’est confortable et qu’il trouve que ça lui va bien. Si on lui donne un t-shirt rose fluo avec un flamant rose dessus, il est donc fort probable qu’il refuse de le porter ! Il tient à son image de séducteur après tout ! Pour les chaussures, il portera également plus facilement des baskets que des chaussures de ville, les jugeant plus confortables. Pour ce qui est des petits signes particuliers, Anders a l’oreille gauche percée à trois endroits : il a un anneau au niveau du lobe, ainsi que deux piercings simples au niveau du cartilage et du tragus. Il envisage d’ailleurs de s’en faire un à la langue quand il sera majeur. Il n’a aucun tatouage pour le moment et ne sait pas encore s’il veut s’en faire plus tard. Enfin, en ce qui concerne les bijoux, Anders n’en porte pas. Il sait qu’il devrait les retirer à chaque fois qu’il voudrait jouer au basket, alors il ne s’en encombre pas. Par contre, il a quelques bracelets en cuir et tressés aux poignets.

Caractère

Anders n’est pas vraiment quelqu’un de complexe. Hyper social, il parle facilement de tout et de rien avec les gens, même ceux qu’il ne connait pas. Il n’hésitera jamais à aller voir quelqu’un qui a l’air d’avoir besoin d’aide ou de compagnie. Il n’est pas frileux quand il s’agit de donner de sa personne et il est même un peu trop bonne poire. Il sait faire attention et ne pas être trop naïf, mais à partir du moment où il vous apprécie sincèrement, il sera du genre à toujours se plier en quatre pour vous, même si vous ne le lui rendez pas. Vous savez, c’est un peu le genre de personnes à toujours vouloir vous faire plaisir et à vous offrir des cadeaux, alors qu’il n’a pourtant pas beaucoup d’argent de poche et qu’il lorgne depuis déjà des mois sur une nouvelle paire de baskets. Il fait toujours un peu trop passer les autres avant lui, sans doute à cause de cette petite cicatrice qu’il a gardée au fond de son cœur quand sa mère a quitté la maison.

Anders a en effet une peur panique de l’abandon, sans doute est-ce là la raison pour laquelle il est autant avide d’attention et d’amour et qu’il enchaîne les aventures. Il veut qu’on s’attache à lui, mais lui rechigne à faire de même en retour. S’il s’attache, il a peur que vous finissiez, vous aussi, par l’abandonner. Parce que même s’il joue le dragueur et le mec plein d’assurance, il se cache toujours au fond de lui ce petit garçon qui manque cruellement de confiance en lui. Il est encore jeune et a du chemin à parcourir pour mûrir après tout ! Il finira d’ailleurs peut-être par réussir à tomber amoureux un jour, mais pour le moment, ça n’est jamais arrivé. Il est bien trop occupé avec le basket et ses proches pour s’embêter avec quelque chose d’aussi insignifiant que l’amour ! Il est bien sûr attiré physiquement par les filles, mais personne n’a réussi à l’atteindre suffisamment pour lui donner envie de faire une place supplémentaire dans son cœur, place qui serait consacrée à une histoire d’amour.

Avec son côté très social, Anders a beaucoup d’amis, aussi bien en classe que dans ses clubs. Mais même si ses amis sont nombreux, personne n’a réussi à se hisser au niveau de Liam, qui reste et restera son meilleur ami de tous les temps, quoi qu’il arrive. Après tout, ils sont inséparables depuis qu’ils ont commencé à marcher, alors c’est une amitié difficile à égaler ! Et si Anders est plutôt bonne pâte, une personne avec qui il est facile d’interagir, discuter et plaisanter, il lui arrive aussi de se mettre en colère ! L’Islandais ne supporte pas qu’on s’en prenne aux gens qui lui sont chers, et il n’hésitera pas non plus à intervenir s’il est témoin d’une injustice. Il est aussi du genre… susceptible. S’il fera mine de rien devant vous, Anders se vexera très facilement. Il a aussi tendance à se sous-estimer et à se rabaisser, même s’il le fera toujours intérieurement.

Anders est quelqu’un qui a horreur des conflits. Il cherchera toujours à les éviter et fera tout son possible pour essayer d’arrondir les angles au maximum. Il lui arrivera donc souvent de ne pas être tout à fait franc avec les gens, uniquement parce qu’il ne veut pas les blesser. S’il le peut, il tâchera d’être en bons termes avec tout le monde, tout simplement parce que l’idée qu’on puisse ne pas l’apprécier ne lui plaît pas. C’est un mec sympa qui ne veut de mal à personne après tout, alors pourquoi on le détesterait ?

S’il a également des airs un peu hyperactifs à ne jamais se poser plus d’une minute, Anders sait pourtant se montrer plus calme. Il n’est pas un grand lecteur, mais sa grande curiosité l’a poussée à s’inscrire au club de littérature au lycée. Bon, c’était un peu un choix par défaut parce qu’il ne s’intéressait qu’au basket, mais il ne regrette finalement pas son choix, puisque ça lui a permis de découvrir quelques petites pépites ! Enfin, à cause de sa peur panique de l’abandon, Anders a développé un côté… maladivement jaloux. Si comme pour toutes ses émotions négatives il tâchera de les enfouir au plus profond de lui pour ne jamais rien vous montrer, cela pourra facilement le rendre malade de vous voir vous amuser avec une personne autre que lui. Il sait qu’il doit encore travailler sur ça, aussi bien pour lui que pour les autres qui lui sont proches, mais le chemin est encore long ! À côté de ça, si jamais vous vous frayez une place dans son cœur, soyez assurés qu’il fera tout pour vous et qu’il ne vous lâchera pas. C’est quelqu’un de loyal et de très impliqué dans le bonheur des autres.

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