Vous vous retrouvez à présent au rez-de-chaussée et passez à côté de la cuisine où vous entendez toujours la cuisinière pleurer à chaudes larmes et se gaver des bonbons qui étaient, à la base, destinés aux enfants du quartier. Juste sur votre droite, vous apercevez une autre pièce bien éclairée et vous dirigez vers la porte de celle-ci.


Vous avancez dans cette grande salle à manger et découvrez que le couvert a déjà été mis depuis quelques temps : plusieurs plats se trouvent sur la table, mais tous semblent être déjà froids. Et le spectacle est saisissant ! Un cerveau entier se dresse dans un plat, un autre semble avoir été découpé en morceaux et déposé dans un bol de “soupe” couleur rouge sang, plusieurs autres parties de corps sont disposées ici et là dans des assiettes argentées… À se demander si le maître de maison n’était pas réellement un être surnaturel !

Vous retrouvez dans cette pièce, devant ces plats tous plus effrayants les uns que les autres, ce majordome aux allures de vieux zombie sorti d’un placard après plusieurs longues années d’attente. Soupirant profondément en faisant jaillir un nouveau nuage de poussière, il tient mollement entre ses doigts un plat où trône une main posée sur la base du poignet, la fixant d’un air absent. Son visage ne laisse pas vraiment transparaître d’émotions, mais vous sentez clairement que la mélancolie d’avoir perdu son patron l’a gagné.




Dans cette pièce, vous vous retrouvez donc face à un témoin ou un suspect. Ici, nul besoin de partir fouiller les lieux à la recherche d’indices, c’est la personne face à vous (le PNJ) qui sera votre source d’informations !

Quelques règles sont toutefois à respecter pour ces interrogatoires : afin que personne d’autre, en dehors des participants se trouvant dans cette pièce, ne puisse jeter des coups d’oeils indiscrets à ce qu’il se passe ici, toutes vos questions seront à mettre sous balises “hide”. Les réponses du PNJ seront elles aussi placées entre ces balises, afin que seuls ceux participant au sujet puissent les lire. Contrairement aux indices à trouver dans les autres pièces, tout le monde pourra donc obtenir les mêmes informations en écoutant les questions des autres et les réponses du PNJ. Attention toutefois : vous ne pourrez poster qu’une seule question par rp ! Choisissez donc bien votre question et n’hésitez pas à faire plusieurs réponses dans la semaine si vous souhaitez en poser plus !

Vous avez deux semaines pour poster au minimum une réponse, faute de quoi le jeu se poursuivra sans vous. Chaque mercredi, si vous avez posté une réponse, un mp vous sera envoyé sur Discord pour vous inviter à lancer votre dé. Vous pouvez bien évidemment poster autant de réponses que vous le souhaitez !

Alors qu'elle sortait de la salle de bain où elle était précédemment, elle retourna vers le hall, regardant une fois de plus le corps sans s'y attarder, notant quelques trucs rapidement sur son carnet. Elle était encore pas mal dans le flou concernant cette affaire, il fallait qu'elle avance d'une façon où d'une autre et un témoin ou un suspect à interroger serait le bien venue genre maintenant.

Passant devant la cuisine, elle entendit des pleurs, et elle n'avait clairement pas envie d'aller déranger cette pauvre femme qui semblait totalement perturbée. Regardant curieusement de l'autre côté elle tomba sur une salle bien éclairée et y pénétra. Elle fut une fois de plus surprise du luxe de la pièce, on voyait bien que Mr Watanabe avait les moyens de se faire plaisir sur bien des domaines. La salle à mangée dans laquelle la professeur se trouvait maintenant fu bientôt emplie de pas mal de monde, à croire que tout le monde avait eu la même idée, pour diverses raisons.

Le majordome qui avait expliqué la situation à l'entrée du manoir se trouvait là, proche de la table, faisant on ne sait quoi avec un des plats et en s'approchant, la jeune femme ne put s'empêcher de faire une grimace.

- Hmmm... C'est peu ragoutant tout ça...

Elle n'attarda pas son regard sur les cervelles et autre bout de ce qui pouvait se trouver dans les assiettes et se dirigea vers l'homme en question. Il devait forcément en savoir plus que ce qu'il avait bien pu nous dire à la présentation. En même temps, il n'y avait pas intérêt à tout révéler d'un coup. Toussotant un peu pour attirer son attention, une fois qu'elle l'avait, elle lui adressa la parole avec son sourire habituel.

- Puis-je vous poser quelques questions ?

En même temps, il était sans doute là pour ça mais il valait tout de même mieux demander avant de se jeter sur lui tête baissée. Une fois son approbation elle se lança.



Il devait sans doute être entre ces murs depuis bien avant l'arrivée du maître de maison et donc connaitre particulièrement ce qu'il se passait entre ces murs mieux que personnes... A moins d'être carrément à côté de la plaque et que ce dernier ne soit là que depuis peu.

Tu quittes la chambre sans grand regret. Bon ok, c'était cool de faire peur au premier quidam qui passe. Et puis c'est pas tous les jours qu'on a l'occasion de tester un cercueil ! Ça aurait été dommage de rater ça. Mais il va peut-être falloir se reconcentrer un peu... Tu n'as rien trouvé dans la chambre. En même temps, vue la taille de l'endroit, il n'y a peut-être pas d'indice dans toutes les pièces. Tu ne serais pas surprise que certaines salles soient plus des leurres qu'autre chose ! Après tout, il faut bien occuper la populace.

D'ailleurs, c'était quand même un peu triste finalement de ne croiser personne. Ça fait moins de possibilité de blague. Du coup, changement de stratégie, tu vas tâcher de viser une pièce un peu plus habitée. Retour au rez-de-chaussée. La lumière d'une pièce t'attire. La salle à manger semble-t-il. Une jeune femme est déjà présente. Et la table est servie. Curieuse, tu t'approches des assiettes pour en observer le contenu. Des cerveaux !

"Hé, c'est plutôt bien fait ces trucs."

Tu ne peux pas t'empêcher de foutre le doigt dedans, histoire de voir comment ça réagit. Ça bloblote un peu, mais le truc est plutôt grumeleux... et gluant. Pouic, pouic pouic. Vraiment curieux comme matière ! Doit bien y avoir moyen de surprendre quelqu'un avec ça non ? Genre une bataille de cerveau !

Décidément, tu n'es pas super concentrée ce soir... c'est quand tu entends la personne déjà présente parler que tu réalises la présence du majordome. Ha oui ! Celui-là ! Tu attrapes par réflexe un petit bout de cerveau que tu glisses dans ta poche, pour plus tard. Il est temps de redevenir un peu sérieux. Tu te rapproches un peu des deux autres, tends l'oreille pour voir ce qu'il en est. Un témoin donc... et pas n'importe lequel : le majordome ! C'est exactement le genre de personne à interroger... ces types-là entendent tout, voient tout... s'il y a quelque chose à savoir, il le sait. Sinon c'est que de toute façon, il fait mal son boulot et vous ne pourrez rien en tirer de toute façon.

Tu attends qu'il réponde à la première question, et aussitôt, rembraille sur une autre.


Oui parce que si c'est pour te répondre qu'il se battait avec sa salle de sport pour annuler son abonnement, ça va pas te faire avancer !

Le majordome semblait perdu dans ses pensées, à fixer cette main trônant fièrement dans l’assiette qu’il tenait entre ses doigts. Lâchant un nouveau soupir, il ne sembla sortir de ses pensées qu’en entendant une voix féminine juger les plats présents sur la table. Relevant la tête mollement vers elle, son visage toujours aussi inexpressif, il finit par casser le pouce de la main qu’il avait dans son assiette, le tendant à la banshee.

« C’est pourtant délicieux, goûtez. »

Il attendit qu’elle s’en saisisse, avant de soupirer à nouveau en regardant cette main à présent amputée de l’un de ses doigts. Le pauvre semblait vraiment affecté par la mort de son patron…

Il releva toutefois la tête quand la jeune femme lui posa une question. Ah, oui, ils étaient tous là pour enquêter, c’était normal qu’ils aient des questions à lui poser. Plantant son regard vide dans celui de la banshee, il se décida, après quelques secondes de silence, à prendre la parole de sa voix monocorde.



Il n’eut pas le temps de reprendre la contemplation de cette main qu’il tenait entre ses doigts qu’une autre participante s’approcha de lui pour lui poser une nouvelle question. Et quelle question ! Le majordome garda toutefois son air impassible, comme si rien ne pouvait réussir à le surprendre.

Dae-Hyun suivit les autres qui quittaient la salle de bains et descendit les escaliers. Il dépassa la banshee qui s’était arrêtée au niveau du cadavre du maître de maison, puis se dirigea vers la lumière et les voix qui s’élevaient un peu plus loin. Apparemment, un groupe se trouvait dans la cuisine avec un témoin assez… bruyant. Le Coréen ne s’arrêta que quelques secondes, le temps de saluer les quelques personnes qu’il avait reconnues à l’intérieur, puis il reprit sa marche et s’avança dans la pièce suivante qui n’était autre que… la salle à manger ! Et là encore, les organisateurs avaient fait fort ! La décoration était bluffante, et ces plats étaient vraiment… peu ragoûtants ! Dae-Hyun s’attarda quelques instants pour scruter tous ces plats en affichant une moue entre la grimace et le sourire admiratif, avant de repérer Saku qui interrogeait le témoin suivant : le majordome qui les avait accueillis. Il la rejoignit donc, lui offrant un grand sourire et un pouce levé en entendant sa question qui était super intéressante. Ah, et il retrouvait aussi la banshee de la salle de bains ! Il lui offrit un petit sourire également, après avoir pouffé en voyant que le zombie lui offrait de goûter à un pouce humain.

Dae-Hyun essaya ensuite de retrouver sa concentration en entendant les réponses du majordome, prenant tout un tas de notes pour ne pas risquer d’oublier un détail qui pourrait se révéler important pour la suite. Quand le silence revint, il se risqua à poser une question lui aussi.

Le majordome avait répondu mollement aux questions que les enquêtrices en herbe lui avaient posées, trouvant d’ailleurs particulièrement pertinente celle de la petite demoiselle à l’air malicieux. Les deux jeunes femmes furent ensuite rejointes par un vampire/scientifique fou, qui semblait bien s’amuser et content de retrouver les deux autres.

Déposant finalement l’assiette qu’il tenait entre les mains sur la table, le majordome sortit ensuite un mouchoir en tissu d’une des poches de son costume poussiéreux pour commencer à astiquer un verre à vin qui semblait un peu sale. Le maître de maison avait beau être mort, l’homme ne pouvait pas s’empêcher de vouloir que tout soit parfaitement impeccable, comme cela avait toujours été le cas.

Une autre question le tira ensuite de ses pensées. Il l’écouta attentivement, en silence, avant de lever son verre vers l’un des lustres, espérant pouvoir y déceler des tâches tenaces.

Le majordome avait l'air de tourner à 2km/heure. Soit il était complètement sonné par l'annonce du décès de son employeur, soit il devait en fumer de la sévèrement forte... Parce que là... moins réactif ça allait devenir difficile. Ton regard s'illumine lorsqu'il vous propose de goûter un pouce ! Évidemment, tu ne peux qu'accepter une proposition aussi alléchante !

"Carrément !"

Tu récupères le pouce et croques avec joie dedans. Chocolat ! Décidément, t'as bien fait de venir.

Quand Dae arrive, tu lui fais un immense sourire et lui tends le morceau de doigt restant.

"Tu veux goûter ?"

Après tout, il faut savoir partager les bonnes choses ! Tu tâches de te reconcentrer sur l'enquête en cours. En même temps pas ta faute s'il y autant de chouettes choses à faire ici... Soudain très sérieuse, tu écoutes attentivement les réponses aux diverses questions, réfléchissant à la prochaine à poser. Tandis que Dae cherche à reconstituer la découverte du cadavre, tu décides de continuer sur ta lancer.

Alors qu'elle avait pénétré dans la salle à manger, Mitsuko n'était pas réellement emballée par le plat proposé ce soir, une imitation de cervelle, franchement trop bien réussi... Le majordome se tenait là, dans la pièce, et triturait une main coupée dans l'assiette devant lui. Une jeune femme avait fait suite dans la dite pièce, s'intéressant au contenu des assiettes, ne pouvant s'empêcher de mettre le doigt dedans alors que l'homme de la maison avait coupé le pouce de la main et le lui proposait en lui affirmant que c'était délicieux. Attrapant le doigt sans grande conviction, elle avala sa salive et lui posa sa première question. A peine avait-il répondu qu'une autre question fusait de derrière elle, jetant un regard à sa camarade du moment et prenant des notes à la réponse qui s'en suivi.

Alors que la jeune femme à côté d'elle semble intéressée de goûter le pouce, elle le lui donne et récupère l'usage de ses deux mains avant de reprendre son calepin, y notant quelques indications intéressantes. Les personnes présentes semblaient bien plus perspicaces qu'elle au niveau des questions... bien que sa première ayant permis d'enchaîner sur la seconde qui avait été posée après elle.

Commençant à avoir quelques bonnes indications, l'interrogatoire s'enchaînai tranquillement alors qu'elle regardait un peu partout. La pièce ne semblait pas contenir quelque chose de suspect, le majordome l'aurait sans doute remarqué, bien qu'il semblait être un peu ailleurs. S'amusant de la réaction des autres et du goût chocolat de la main ensanglantée, elle ne pu que rester admirative devant un tel travail de sculpture.

- Moi je veux bien un petit bout finalement !

Après tout, on ne dit jamais non à du chocolat ! Après avoir remercié et mis le morceau de chocolat dans la bouche, elle écoutait une question supplémentaire. décidément, chacun semblait avoir un suspect en tête et il lui fallait plus d'indication sur sa dernière réponse.

Sans trop se poser de questions, Thomas suivit le mouvement général pour se retrouver dans une grande pièce qui était en fait la salle à manger. La décoration restait dans le thème de ce qu'il avait vu précédemment. Quel bon goût. Le plus étonnant dans cette pièce restait ce majordome aux traits si particuliers. Pendant un moment, le boxeur cru voir un simple mannequin grimé jusqu'à ce que ce dernier effectue un mouvement. Conscient que ses instincts de détective n'aillaient être d'aucune utilité, il profita de la présence de chaise pour s'asseoir, posant sa batte sur la table. Il observa les autres poser des questions tandis que lui s'amusait à observer les faux bouts de corps qui avaient été disséminés dans les assiettes, avant de reporter son attention sur les quelques jeunes gens pour éviter la moindre bêtise. C'était dingue de voir à quel point son métier de professeur commençait à déteindre sur sa façon d'agir.

Puis quand le flot de questions se calma, le Joker reprit sa jolie batte à la main et se leva. Le visage à peine éclairé par les lustres de la pièce, il avança lentement en direction du majordome, une mine assez sérieuse qui indiquait qu'il commençait vraiment à se prendre au jeu. Il se plaça devant le type et pencha le buste pour se mettre à hauteur d'yeux.

Décidément, ces jeunes gens avaient beaucoup de questions à lui poser ! L’homme avait presque l’impression de se faire submerger par toutes ces demandes d’informations, mais s’il pouvait les aider, même rien qu’un peu, à retrouver l’auteur de cet odieux crime, alors il y répondrait de bon cœur. Même si ça ne se voyait pas vraiment sur son visage…



La discussion passa à un tout autre sujet, le majordome finissant par attraper à son tour un bout de doigt en chocolat pour le fourrer dans sa bouche et le mâcher mollement, attendant bien évidemment de ne plus avoir la bouche pleine pour reprendre la parole. C’était la moindre des politesses après tout !



Oui, oui, lui aussi l’était, même si ça ne se voyait pas !

Puis, alors qu’il s’apprêtait à prendre un autre morceau de main, histoire de se remonter un peu le moral suite à cet événement macabre, le majordome fut coupé dans son élan par un homme un peu plus grand que lui, qui s’approcha avec sa batte et son air sérieux, croyant peut-être pouvoir l’impressionner. L’employé se contenta de planter son regard dépourvu d’émotions dans celui de son interlocuteur, ne bougeant pas d’un pouce et parlant toujours avec ce ton monocorde.



Le majordome lâcha un nouveau soupir, envoyant un peu de poussière au visage du Joker au passage. Tout ça semblait tellement irréel…

Eh bien, le moins que l'on puisse dire, c'est que ce petit moment passé en cuisine fût... intéressant. Certes, Haru n'était pas très avancée (en même temps, difficile de faire mieux alors que l'enquête vient à peine de débuter !) mais elle ne pouvait pas se plaindre pour autant. Elle avait tout de même entendu quelques informations qui pourraient lui être utiles pour la suite. Peut-être.

Ne voyant pas trop en quoi la cuisinière pourrait être encore utile (sans le moindre mépris évidement), Haru décide de poursuivre sa route, non sans ressentir un léger pincement au cœur. Tout cela avait beau être une mise en scène, le jeu d'acteur est si bon qu'on y croit dur comme fer (enfin... presque).

C'est dans la salle, située juste à côté de la cuisine, que la blonde s'arrêta. En plus, elle avait pu apercevoir, du coin de l'œil, une ou deux têtes qui ne lui étaient pas inconnues. Autant continuer son enquête tout en se sentant...disons... en sécurité. Rassurée. Car elle avait beau être une courageuse l'air de rien, et avoir décidé de se mêler aux autres de son propre chef, c'est bien pour elle de ne pas se retrouvée seule dans l'inconnu. Encore...

La salle à manger était (et est toujours), en plus d'être impressionnante de part sa taille et sa beauté... bien décorée ? C'est glauque. Beau mais glauque. Un vrai travail d'artiste !

Haru était restée en retrait, hésitant à s'imposer (les miracles existent oui). Mais elle écoutait attentivement, jusqu'à ce que quelque chose l'interpelle dans les paroles du majordome. Alors elle se décida enfin à avancer vers le zombi dans l'espoir de satisfaire sa curiosité.



Peut-être que le majordome sera incapable de lui répondre. Mais au moins, elle aura essayé. Mais si elle parvient à obtenir quelque chose... d'autant plus qu'ayant lu les dossiers des témoins, elle avait de quoi se poser des questions.

La majorité des enquêteurs du soir avaient décidé de quitter les lieux pour partir en quête d’autres indices. Le majordome pensait que son boulot était terminé, mais une petite voix féminine le coupa dans son élan alors qu’il s’apprêtait à s’assoir à table. La main sur le dossier de la chaise, il tourna mollement la tête vers la jeune femme qui venait de lui poser une nouvelle question. Et ce fut toujours avec cet air impassible qu’il se décida à lui répondre du mieux qu’il pouvait, avec le peu d’informations qu’il avait en sa possession.



Après tout, il ne restait plus qu’elle dans la salle à manger. Ça ne dérangeait pas tellement le majordome de rester en tête à tête avec elle si jamais la jeune femme avait envie de continuer à le questionner !